Confinement
Datte: 01/06/2022,
Catégories:
fh,
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fffh,
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jeunes,
copains,
grosseins,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
délire,
aventure,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... visqueux sur leurs langues, mini séquence érotique. Le paysage est magnifique, ces lacs de montagne sont vraiment magnifiques, on va partir à regret. Ce qui les met en joie, c’est quand je leur annonce qu’il s’agit de notre dernière journée de marche d’approche, et que demain nous grimperons vers notre objectif final. En fait, nous sommes partis depuis douze jours et la distance réelle parcourue est plus proche de trois cent soixante-dix kilomètres que de cinq cents. Au passage, nous voyons une pancarte publicitaire de supermarché, un détour de six cents mètres. Je propose d’y aller faire nos dernières courses avant réclusion, mais pas tous les six, bien sûr. Un couple ferait plus « normal »,
Zoé se propose de m’accompagner et prend les commandes des uns et des autres. Nous devons faire la queue comme tout le monde, seulement vingt personnes dans le magasin, l’équivalent de la file d’attente. C’est tout juste si l’on n’a pas rempli un caddy. Demain, l’ascension sera dure. En fin d’après-midi, nous arrivons près du hameau où je m’étais retrouvé après mon séjour chez l’ermite. Ils ont l’art des noms de lieux, dans le secteur : « Mont Derrière », « Le Cul de bois » et « La Compôte ». Après cette bonne rigolade, nous pénétrons dans une belle vallée verdoyante de prés et de bois de sapins, idéale pour planter nos tentes. C’est curieux comme ce sentiment de quitter la civilisation nous fabrique des nœuds à l’estomac. Le dîner, pourtant riche et bon, se passe en silence. Chacun ...
... doit penser à ce qu’il abandonne, il est encore temps de renoncer. C’est un risque pour un autre, mais on ne va pas reculer maintenant, après douze jours de marche épuisante. J’ai acheté une bonne bouteille de champ’, ça détend un peu l’atmosphère avant d’aller dormir.
Je les avais prévenus qu’il y en avait pour cinq à six heures de crapahutage, nous sommes partis tôt, vers huit heures. Mais à midi, nous n’étions toujours pas au petit col. N’ayant fait que la descendre, je ne me souvenais pas de la raideur de cette pente, ni surtout de sa longueur. Cinq heures pour descendre certes, mais plutôt sept pour monter. Les filles font des arrêts de plus en plus fréquents. On boit, on grignote des barres énergétiques, on se remonte le moral. Les derniers hectomètres d’ascension sont particulièrement pénibles parce que la roche est pourrie et le soleil cogne fort. Même Zoé pose son joli cul sur un rocher et déclare :
— Ah non, moi j’en peux plus. Allez-y, moi je reste là…
— Eh bé, la grande ! Tu ne vas pas nous abandonner. Allez, un peu de courage, on y est presque. Prends ton temps, respire à fond, bois un coup…
— T’es une mère pour moi ! Putain, c’est trop dur où tu nous emmènes…
— Allez, viens, on y est presque. Ne craque pas, tu vas faire craquer les autres.
— M’en fous…
— Allez, debout. Si tu te lèves… euh… qu’est-ce que je peux te promettre… Oui, si tu te lèves, je te promets que ce soir tu dors avec moi sous ma tente.
— Ha-ha-ha ! Chiche !
— Chiche !
Elle s’est ...