1. Confinement


    Datte: 01/06/2022, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, fffh, fbi, jeunes, copains, grosseins, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe délire, aventure, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... nous sommes dans un cirque. Il suffit de descendre jusqu’au lac et on retrouvera facilement les autres.
    — Dis, justement, tu ne crois pas que les autres espèces ont besoin de plus d’eau que les sapins ? C’est peut-être au bord du lac qu’il faut chercher, suggère Zoé.
    — T’as oublié d’être sotte, toi. Tu as raison, lumière et flotte, bord du lac ! Allons-y…
    
    Vous avez compris que lorsqu’il s’agit de m’accompagner, ces deux-là sont volontaires. Nous descendons vers le lac, mais, profitant de la pente, je m’arrête devant Yvette :
    
    — Viens ici, toi, histoire de me donner un avant-goût. Depuis le temps que j’ai envie de tripoter tes gros nichons…
    — Ben, ne vous gênez pas, proteste Zoé.
    — Je croyais que tu avais admis devoir me partager.
    — Ouais, mais de là à tenir la chandelle…
    — Meuh non ! Viens ici que je te tripote aussi. Deux fois plus de plaisir d’accord, mais deux fois plus d’emmerdes pas d’accord. OK toutes les deux ?
    — OK, d’une voix commune.
    
    Que croyez-vous qu’il puisse se passer quand on bécote une fille à pleine bouche au milieu d’un bois en lui pelotant les seins ? D’abord la main passe sous le sweat-shirt, puis le vêtement va rejoindre une branche, suivi par le soutif, et vient le tour du jean. La dodue Yvette se retrouve en quelques instants nue comme un ver, sous les yeux effarés de sa copine Zoé.
    
    — Toi aussi, mets-toi à poil, que je profite de vous deux. Pas banal, j’ai la chance d’avoir la plus grande et la plus petite. J’aime bien sortir de la ...
    ... moyenne, trop banale. Mais tu sais que t’es bien foutue quand même, Yvette. Regardez-moi ça. Tout ce qu’il faut où il faut. Chez Zoé, c’est étalé en longueur, chez toi c’est du concentré…
    
    Zoé enfin nue vient nous rejoindre et se faire peloter et sucer les nichons aussi. Pratique, la pente, tout le monde peut se caler à la bonne hauteur. Je ne sais plus où donner de la bouche et des mains qui, mues par une vie autonome, descendent rapidement vers les hanches et les fessiers charnus. Sans perte de temps inutile, elles s’engouffrent entre les cuisses.
    
    — Oh, mais voyez ça… Elles sont chaudes comme le Vésuve et l’Etna ! À genoux sur vos jeans, ordonné-je en posant le mien.
    
    Deux beaux culs offerts, aussi gros l’un que l’autre malgré leur différence de taille, car Yvette rend plus d’une tête à Zoé. C’est leur densité qui est différente, plus tendre et grasse chez Yvette, plus musclée et nerveuse chez Zoé. J’inaugure celui d’Yvette qui n’espérait que cela. C’est chaud, c’est très doux, c’est trempé et c’est aussi moelleux dedans que dehors. Un délice ! Pendant ce temps, je consacre ma main droite à Zoé, dont les nymphes sont encore excitées et sensibles de nos ébats nocturnes. Et les voilà qui se mettent à discuter ensemble.
    
    — Oh putain, ce que c’est bon. Oh, la vache, comme il me remplit bien…
    — Elle est bonne sa queue, hein ?
    — La vache, oui ! Je te comprends maintenant, t’as pas envie de chercher ailleurs. Oh, je vais jouir…
    — Déjà ?
    — Oh oui, j’en avais tellement ...
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