Confinement - Histoires de Sexe

Confinement

... envie… Tu te rends pas compte, toi, grande et belle, tu te tapes qui tu veux… Mais moi, la petite grosse, c’est que les années bissextiles et encore… Oh je jouis, putain, je jouis ! Aaaah !
— Allez, à ton tour Zoé. Mais suce-moi d’abord, je rêve de voir ça. Cette nuit, j’ai senti, mais j’ai pas vu…
— Ben comme ça, je saurais quel goût elle a, Yvette. Hum… ça va. Un peu poivrée, mais ça va.
— Tu sais que t’es belle, quand tu suces ?
— Hummm… ça fait deux fois que tu me dis que je suis belle depuis ce matin. C’est ma fête !
— Allez, donne tes fesses.
— Et essaye de pas trop gueuler, tu vas rameuter les autres.
— Tu parles, je suis sûre qu’ils en font autant.
— M’étonnerais, sont un peu timides sur la bite, les copines.
— Ah oui ? Pourtant j’aimerais bien les sauter aussi, une fois, pour voir.
— Hé ! Occupe-toi de nous avant de penser aux autres.

Je me mets à limer la grande Zoé avec application. En fait, je n’ai pas grand-chose à faire, c’est son cul qui vient s’empaler sur ma queue. Quelle vorace ! Pendant ce temps, je peux consacrer un peu d’attention à Yvette, deux doigts dans sa chatte et le pouce sur son clitoris, s’activant à un rythme soutenu.

— Ah non, pas ça… je vais jouir encore… oh si ! Oh putain ! Je vais jouir, mais je vais pisser… c’est pas possible… ahhh !… Haaaa !

Un joli petit jet sort de sa foufoune, m’éclaboussant la main et le côté de la cuisse.

— Oh ben dit donc ! J’avais jamais vu ça. Une fontaine ! Yvette est une femme-fontaine ! ...

... Jackpot !
— C’est quoi, s’inquiète Zoé ?
— Ben… elle éjacule en jouissant, un peu comme un mec, sauf que c’est un liquide entre pisse et cyprine.
— Bon, on verra ça plus tard, finis-moi que je jouisse moi aussi.

Je lance le sprint final, ponctué de quelques claques sur ses jolies fesses fermes. Elle se met sur les coudes, la bouche bâillonnée par ses deux mains. Je me lâche en elle avec volupté tandis qu’elle grogne par le nez.

— Oh putain, j’ai failli m’étouffer. Y a pas, moi j’ai besoin de m’exprimer. Allez, on va les chercher tes bouts de bois ? »

Elle prend ses fringues et descend vers le lac, seulement vêtue de ses godasses, qu’elle quitte avant d’entrer dans l’eau pour se laver le cul.

— Oh, vache ! Elle est froide.
— T’es folle, tu vas attraper la crève.
— Autant s’y habituer tout de suite. Tu crois qu’on va rencontrer une baignoire avec eau chaude, eau froide et bain moussant?
— Non, bien sûr… Bon, ben… je vais essayer aussi. Et toi, tu pourrais te laver la queue aussi !
— J’attends la fin d’après-midi, au soleil, quand il aura un peu réchauffé l’eau. Ici, à l’ombre, elle est glacée.
— T’aurais pu le dire avant.

Elles se rhabillent, on longe la rive jusqu’au bout du lac en franchissant plusieurs ruisseaux plus ou moins gros, parfois il faut trouver des pierres pour aménager un passage. C’est le cas du dernier cours d’eau qui vient du fond du cirque et doit réunir l’eau de deux ou trois cascades. De l’autre côté, c’est intéressant, sur la partie ...