Confinement
Datte: 01/06/2022,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
ffh,
fffh,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
délire,
aventure,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... qui veut aller avec qui. Pas d’hypocrisie.
— Oh oh, ça veut dire quoi tout ça ? Je ne pige pas, explique.
— Ça veut dire que pendant le trajet, il ne s’est pas passé un jour sans qu’Yvette ne me dise son admiration pour Jérôme et que Florence ne m’ait dit trouver Fred mignon.
— Ah OK. Donc ce sont les filles qui choisissent.
— Attends, Fred. Je n’ai rien de rien contre toi. Mais j’ai trouvé un mec qui m’a fait jouir, je le garde. Inutile pour moi d’en tester un second. À ma connaissance, il n’y a pas de règlement, écrit ou oral, qui dise que les filles sont en libre-service.
— Rhôôôh ! Mais c’est qu’elle est amoureuse, notre grande copine !
— Je ne sais pas, trop tôt pour le dire. Mais, merde ! On est quatre filles pour deux mecs, soit deux filles pour un mec si je me souviens de mes cours de maths. Je veux bien partager Jérôme avec une autre, ça, c’est normal, mais partouzer à tout va, très peu pour moi.
Elle montait dans les tours, agitant ses grandes mains aux doigts écartés, verticalement de haut en bas en affirmant ses convictions :
— Tu sais que t’es belle quand tu es en colère, dis-je avec un sourire.
— Ha-ha ! Oh toi ! Tu sais toujours dire ce qu’il faut quand je débloque. Et ça, j’aime ça !
Et elle se penche pour me coiffer la bouche de la sienne. Évidemment, les autres en concluent immédiatement qu’elle est amoureuse. Je trouve ça plutôt flatteur, vu la belle plante. Donc ce soir, pas de surprise, je me tape la « boule », la petite Yvette. En ...
... attendant, il y a du boulot. D’abord, fabriquer une canne à pêche si l’on veut manger. Ensuite, réparer les outils de l’ermite que nous retrouvons un à un dans les décombres : une pelle, de type pelle à neige, un pic court qu’il a dû utiliser pour creuser sa grotte, une fourche-bêche et une hache, les manches des quatre outils étant pourris. Ce qui renseigne un peu sur la fin de sa présence qui n’est pas récente. Le sapin n’est pas terrible pour cela, il faudrait trouver une autre essence. Inutile de compter sur du chêne ou du châtaignier, et le bouleau n’est pas très résistant. Nous partons à trois explorer la forêt en prenant les trois claies de portage et des sangles, on ne sait jamais. Dans un premier temps, je tombe sur l’une de ses anciennes parcelles potagères d’environ cinq mètres sur deux, au milieu d’un groupe de bouleaux. Probable que les feuilles fournissaient du compost naturel en automne, et puis on sait bien qu’il ne pousse rien sous les sapins. Intéressant, parce qu’il y a là quelques légumes qui se sont perpétués spontanément, essaimant un peu partout. Il y a là des carottes, des salades et quelque chose entre navet, chourave ou rutabaga. Ces légumes sont encore jeunes, nous ne sommes qu’au début du printemps à cette altitude. Nous parcourons encore des centaines de mètres silencieusement sur un épais tapis d’aiguilles. Il faut vraiment chercher l’orée, les sapins étouffent tout ou presque.
— Tu ne crois pas qu’on va se perdre, demande Yvette ?
— Impossible, ...