1. La bourgeoise et le marabout (65)


    Datte: 30/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... moi et investit à son tour ma chatte. Il m’embrasse à pleine bouche ; ses deux mains plaquées sur mes fesses m’obligent à rester bien soudée à lui. Dans mon dos, Omar frotte son gland contre mon cul et je n’ai nul besoin d’un dessin pour comprendre qu’il veut m’enculer. Saïdi a d’ailleurs compris les intentions de son complice et, de ses deux mains vigoureuses, il m’écarte les fesses pour qu’Omar puisse investir plus facilement la place.
    
    Me voici maintenant prise de part et d’autre par ces deux mâles en rut. Tandis que l’un me besogne la chatte tout en me pétrissant les fesses, l’autre me défonce le popotin tout en me caressant les seins. Leurs bouches ne restent pas inactives, et cela ne fait qu’augmenter mon désir d’être prise comme une belle salope. Après quelques minutes un peu désordonnées, ils arrivent à bien synchroniser leurs mouvements, et ils me prennent maintenant en cadence. Lorsque la queue d’ébène cogne au fond de ma grotte, la bite d’Omar me remplit entièrement et j’ai l’impression que leurs deux glands se rencontrent et se touchent au plus profond de mes entrailles. J’ai les jambes flageolantes, et si je n’étais pas bien embrochée sur ces deux bites d’amarrage, je crois bien que je m’écroulerais par terre.
    
    Soudain, voilà que mes deux assaillants expriment leur intention d’en finir avec moi :
    
    — Oh oui, je ...
    ... vais jouir !
    
    — Moi aussi, je vais la remplir de tout mon foutre.
    
    — Quel bonheur de féconder cette jolie bourgeoise !
    
    — Oh oui, et le faire en ce lieu historique est une aubaine !
    
    Puis leurs mains se font plus pressantes et, en de longs râles de mâles comblés, toute leur semence se déverse en moi. Ma chatte et mon cul débordent de leur plaisir, et je suis emporté par un long orgasme.
    
    Quelques minutes plus tard, une fois mon string et ma robe réajustés, nous revenons tous les trois vers le bâtiment où se tient la réception. Par discrétion, mes deux chevaliers servants m’abandonnent au pied du grand escalier, et c’est seule que je vais retrouver François dans le salon au premier étage.
    
    Il me demande :
    
    — Je ne te voyais plus ! Tu avais disparu ?
    
    Le plus naturellement du monde, je lui réponds :
    
    — Je n’étais pas loin. J’ai profité de l’occasion pour visiter quelques salles du musée.
    
    Puis, pour éviter que les personnes avec lui m’entendent, je lui glisse à l’oreille :
    
    — Ainsi que le jardin...
    
    Il me fait un grand sourire, puis c’est lui qui me dit à voix basse :
    
    — Une fois à la maison, je te visiterai à mon tour...
    
    J’ai hâte qu’il se glisse à son tour dans mes allées secrètes et mélange son foutre à celui de mes deux guides précédents.
    
    J’adore ces soirées où culture et cul font bon ménage..... 
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