1. La bourgeoise et le marabout (65)


    Datte: 30/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... leur envier.
    
    Et c’est Saïdi qui poursuit :
    
    — Allons voir la statue de la jeune fille allongée, elle est superbe elle aussi.
    
    Flanquée des deux hommes, chacun me donnant le bras, je suis entraînée dans l’une des allées, et quelques instants plus tard, nous voici devant la statue. Comme les autres, la jeune fille est nue, et l’éclat de la pleine lune souligne le galbe de ses formes.
    
    Omar s’exclame :
    
    — J’adore le dessin de ses reins et de ses fesses.
    
    Et sa main se plaque ostensiblement sur ma croupe et caresse lentement mon sillon.
    
    Saïdi exulte :
    
    — Moi, ce sont ses seins qui me font de l’effet. Ils sont sublimes !
    
    Et le voilà collé contre mon dos avec ses mains bien plaquées sur ma poitrine.
    
    Quelques secondes s’écoulent, silencieuses, puis les deux hommes me reprennent par le bras et m’entraînent dans une allée sombre, loin des lampadaires blafards et des regards indiscrets.
    
    Dans un recoin, il y a comme une alcôve végétale taillée dans les ifs ; un banc de pierre y est installé. Les deux hommes retirent leurs vestes et les posent sur la pierre. Omar me fait face, se rapproche et s’empare de ma bouche. Dans mon dos, je sens les muscles de Saïdi qui se colle à moi et m’embrasse dans le cou. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, ma robe glisse à mes pieds et les deux hommes me font allonger sur le banc. Omar me dévore la chatte, je suce Saïdi. Très certainement sous l’effet des nombreuses coupes de champagne que les deux hommes m’ont fait ...
    ... boire, je me laisse aller sous cette langue agile qui me pénètre, et je m’applique sur cette queue que j’embouche jusqu’à la garde. Je me laisse aller, car je sais que dans cette obscurité, nul ne peut nous reconnaître.
    
    On me retire mon string et me voici maintenant à quatre pattes sur le banc ; heureusement que les deux vestes me protègent de la rugosité de la pierre. Saïdi me redonne sa queue à sucer, et je prends plaisir à emboucher cette longue et grosse queue d’ébène qui ne cesse de grossir sous ma langue. Omar vient de me saisir par les hanches et semble prendre du plaisir à me caresser longuement la fente de son gland circoncis. Je tends ma croupe vers l’arrière, car j’ai envie de le sentir en moi. Il a dû comprendre ma demande, car, d’un coup sec, il me pénètre et ses bourses viennent cogner contre mes cuisses.
    
    Me voici maintenant embrochée, de la bouche et de la chatte, par deux belles queues qui me font tourner la tête et fondre le corps. J’imagine que sur ce banc de pierre, qui doit être là depuis plusieurs siècles, de nombreuses femelles se sont fait saillir et ont joui sous les assauts de mâles fougueux. Je m’imagine dans la peau d’une courtisane se dévouant corps et âme pour le roi qui peut faire d’elle tout ce qu’il veut. Je gémis, je jouis et j’en redemande.
    
    Mes deux amants du soir ont déjà compris que je leur appartiens et que je vais tout leur céder. Ils m’aident à me relever, et me voici en bas et escarpins entre mes deux mâles. Saïdi se place devant ...