La bourgeoise et le marabout (65)
Datte: 30/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... string. J’ondule discrètement du bas-ventre pour leur montrer que leurs caresses ne me laissent pas indifférente.
Histoire de leur montrer que je ne suis pas aussi coincée que toutes les autres femmes présentes à cette soirée, je glisse ma main droite sous la nappe, débraguette Omar, sort sa queue de son pantalon et commence à le branler avec lenteur. Il marque un temps de surprise, mais se ressaisit vite. Une fois qu’il est bien excité, ma main droite revient sur la table, et c’est la gauche qui disparaît. Quelques secondes plus tard, c’est la queue de Saïdi qui grossit dans ma main. Reprenant une attitude très digne, je rebois du champagne pour bien me rafraîchir la bouche. Puis, après avoir fait exprès de laisser tomber par terre ma petite cuiller, je me penche sur mon côté droit pour la ramasser. Ma main ramasse l’objet, mais ma bouche s’empare rapidement de la bite d’Omar. Je lui prodigue quelques coups de langue et reviens rapidement dans une position plus digne et plus conforme à ce que l’on attend d’une femme lors d’une telle soirée.
Le dîner est maintenant terminé, et il est proposé à tous les convives de rejoindre une salle jouxtant celle où nous sommes pour prendre un café et un petit alcool fort pour ceux qui le souhaitent. Mes deux voisins se lèvent rapidement de table ; Omar recule ma chaise, et Saïdi me donne le bras pour m’aider à me relever, discrètement, tous deux me flattent la coupe. Omar me demande :
— Souhaitez-vous prendre une tasse de thé, ...
... très chère Hélène ?
Je lui réponds :
— Non merci, car je n’arriverai pas à m’endormir, de retour chez moi.
Saïdi poursuit :
— Souhaitez-vous visiter l’une ou l’autre des salles du musée ? Elles sont toutes ouvertes pour l’occasion.
Je décline son offre :
— Non merci ! Je vais prévenir mon mari que je sors prendre un peu l’air dans le jardin du Carrousel. Lui a certainement encore quelques personnes à voir dans le cadre de son travail.
Puis, avant qu’ils puissent me répondre quoi que ce soit, je leur tourne leur dos et m’éloigne en exagérant volontairement le déhanché de ma croupe.
Dehors, il fait nuit, mais l’air est encore doux. Quelques lampadaires diffusent un halo jaunâtre qui rend l’ambiance digne des premiers films en couleurs. Je m’aventure dans le labyrinthe des haies d’ifs qui forment comme un grand éventail ouvert. Au détour d’une allée, je devine un couple d’ombres dans le renfoncement d’une haie. D’un rapide coup d’œil, je crois voir un jeune homme debout en train de se faire sucer par un autre homme à genoux devant lui. Je souris intérieurement en pensant à ces jeunes énarques du ministère, prêts à tout pour obtenir une place plus intéressante ; dans un tel ministère, la promotion canapé n’est pas pour les femmes.
Alors que je suis en train d’admirer l’une des 18 statues d’Aristide Maillol disséminées dans le jardin, la voix d’Omar interrompt ma méditation :
— Ces trois grâces sont particulièrement sensuelles. Mais vous n’avez rien à ...