La bourgeoise et le marabout (65)
Datte: 30/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... ans.
Le dîner se déroule dans une bonne ambiance, et les plats se succèdent pour le plus grand plaisir des convives. Mes deux voisins sont d’excellente compagnie. Celui de droite qui est a priori le plus jeune, prénommé Omar, est conseiller culturel à l’ambassade des Etats arabes unis depuis quelques mois, après avoir été directeur adjoint du Musée du Louvre Abu Dhabi depuis sa création en 2017. Celui de gauche qui doit avoir près de 40 ans, prénommé Saïdi, est quant à lui conseiller culturel à l’ambassade du Sénégal, après avoir été directeur du musée Théodore Monod d’art africain de Dakar. Ils semblent tous les deux bien connaître mon mari qu’ils ont déjà rencontré dans leurs fonctions précédentes. Il faut dire que François se déplace régulièrement à l’étranger, dans le cadre des accords culturels signés entre son ministère et de nombreux pays.
Au cours du dîner, j’ai bien vite remarqué que mes deux voisins étaient très attentionnés, attentifs à me resservir du vin chaque fois que nécessaire, me demandant si je souhaitais du sel ou du poivre, me tendant volontiers la corbeille de pain, me questionnant sur tout, comme si j’étais la seule femme à table. Progressivement, leurs yeux plongeaient de plus en plus loin dans mon décolleté. Il faut dire que j’ai mis pour l’occasion une superbe robe longue noire Coco Chanel, largement fendue sur une cuisse, très ouverte dans le dos et avec un beau décolleté devant. Evidemment, avec une telle robe, impossible de mettre un ...
... soutien-gorge. Heureusement, comme le dit François, mes seins sont encore bien fermes et pointent vers l’avant comme les phares d’une voiture. Un peu plus tard au cours du repas, Omar se penche vers moi pour me parler, et sa main se plaque sur mon dos dénudé, puis descend un peu plus bas dans le creux de mes reins.
C’est à l’approche du dessert que ces deux gentlemen se sont montrés plus entreprenants, un peu comme s’ils s’étaient passé le mot. Alors que je suis en train de savourer la délicieuse mousse au chocolat blanc et vanille de Madagascar que l’on vient de servir, Saïdi s’empare d’une bouteille de champagne de sa main gauche, puis remplit ma coupe tout en glissant sa main droite sous la table pour venir la poser sur mon genou. Puis, tandis que nous continuons la dégustation de notre dessert, sa main se glisse par la fente de ma robe, puis remonte jusqu’à la large jarretière qui retient mon bas. Quelques secondes plus tard, c’est la main d’Omar qui se pose à son tour sur mon genou. Les deux coquins m’obligent à bien écarter les jambes même si, pour les provoquer un peu, je fais des efforts pour les garder bien serrées.
J’ai maintenant les jambes bien ouvertes, mais heureusement, elles sont dissimulées par la nappe blanche brodée qui descend bien bas. Tout en continuant à parler avec les autres invités installés à leurs côtés et en face d’eux, mes deux voisins ont maintenant dépassé la frontière de mes jarretières pour accéder à mes cuisses dénudées et au fin tissu de mon ...