1. Soumis par le père de ma copine. (2)


    Datte: 27/05/2022, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... passant une main tiède entre mes omoplates et sur mes cuisses, avant d’attacher mes poignets et mes chevilles à la tête et au pied de lit. Puis il vint derrière moi et agrippa fermement mes fesses, pour les écarter, laissant entrer un air froid. Immédiatement, je sentis son gland chaud et humide presser contre mon anus. Je poussais un long râle de plaisir anticipé. Philippe joua alors avec moi, tapotant son gland, forçant l’entrée et le retirant. Je me mis à gémir.
    
    — Philippe, s’il vous plaît...
    
    Mes suppliques ne firent que renforcer sa lubricité. Il claqua mes fesses d’un coup sec et puissant. Puis un second.
    
    — Tu parleras quand je te l’ordonnerais.
    
    Il élargit mon anus de son gland chaud. Je gémissais de manière incontrôlable. Il avança. Sa dureté m’agrandissait et j’ouvris la bouche dans un cri muet de plaisir et de douleur.
    
    — C’est mon bon membre que tu voulais, n’est-ce pas ?
    
    — Oh oui, oh oui !
    
    Philippe me gratifia d’une nouvelle claque, passa une main sur son visage déjà en sueur, avant de m’ordonner :
    
    — Tu vas travailler un peu. Enfile-toi dessus.
    
    J’obéis, me mettant à m’enficher sur le membre. Les premiers à-coups furent rudes et maladroits, mais à force d’efforts, je réussis à sentir son gland loin au fond de moi. Je n’en revenais pas de la sensation de sentir une telle bite. Au départ timide, je me mis à me déhancher comme un beau diable, la sensation folle d’être acteur de ma propre sodomie. J’étais en train de faire aller et venir la ...
    ... queue du quinqua en moi, pour ma plus grande jouissance. Philippe finit par reprendre le contrôle. Agrippant fermement mon bassin, il se mit à prendre farouchement. Je hurlais de manière incontrôlable. Levant la tête vers un miroir non loin, je le vis à genoux, la mâchoire contractée, m’enculer. Il me prenait tant et si bien que ma tête s’enfonçait dans les draps. Je me fais démonter en règle. M’agrippant par les épaules, il se mit à me besogner avec plus de verve. Tout le lit tremblait à présent sous ses assauts. Je sentais les grosses couilles de mon beau-père cogner contre les miennes.
    
    Je jurais, grognant ses louanges. Philippe se retira. Je m’avachis, le cul douloureux, mais ravi. Il me détacha promptement, et, sans que je puisse réagir, il me retourna, me mettant sur le dos. Puis il attrapa mes jambes et les tira en l’air.
    
    Je me retrouvais en position de chandelle, le dos courbé, mes deux cuisses écartées au-dessus de ma tête. Philippe se mit debout au-dessus de moi, apposa son gland contre mon anus, et, pliant les jambes, fit rentrer toute sa bite. Je bramais de plaisir, surplombé de mon dominateur qui me sodomisait de toute la longueur de sa bite. J’admirais son torse luisant de sueur, ses cheveux gris collés sur son front et les muscles de ses bras tendus. Ma propre queue allait et venait également au-dessus de mon visage. Philippe était infatigable, allant et venant à rythme effréné. Tout en me possédant, il se mit à me masturber. Mon visage était déformé par la ...
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