Soumis par le père de ma copine. (2)
Datte: 27/05/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: Arouse, Source: Xstory
... de Philippe. Ce n’est que lorsque je m’affalais sur le lit que je réalisais à quel point j’étais exténué. L’adrénaline m’avait fait tenir tout ce temps. J’avais une furieusement envie de me branler, mon excitation était comme chauffée à blanc, mais je m’abstins. Je mis un moment à m’endormir, la bouche encore pleine de l’odeur de la queue de mon beau-père. Je finis par tomber de sommeil. Le lendemain matin, je pris le temps de me réveiller, m’étirant, observant les allées et venues d’un renard dans les bois à travers la fenêtre. J’avais trouvé dans la nuit une quiétude inattendue.
Je descendis pour trouver Philippe qui m’attendait pour manger un morceau. Nous discutâmes poliment, comme si la veille il ne s’était pas astreint à me limer copieusement la gorge de son immense queue. Il proposa de nous promener dans les environs. C’était quelque chose que j’appréhendais, que des moments triviaux n’émoussent mon attirance pour lui, que j’en vienne à me questionner sur mes actes et ma personne. Mais il n’en fut rien, bien au contraire. Même ainsi, alors qu’il pataugeait dans la boue, dans sa parka sombre, habillé d’un jean sale et de bottes, je le dévorais toujours des yeux. Quand il m’aida à franchir un escarpement rocheux, je sentis ses mains puissantes contre mon biceps, et je fus pris d’un élan de désir. Il s’exprimait peu, donnant l’impression de toujours délivrer le nombre de mots idoines. Il me parla cependant de son travail, des responsabilités qu’il supportait, de ...
... l’ardeur avec laquelle il cherchait à exercer son autorité. Je me mis à me confier à mon tour.
Je lui dévoilais ma timidité, ma peur de m’imposer, les projets de grandeurs que je nourrissais cependant. Je lui confiais également que c’était la première fois pour moi. Je n’eu pas besoin d’en ajouter davantage, il comprit. De même, quand je lui demandais comment il avait su que je lui céderais, il répondit simplement « je l’ai su que j’ai croisé ton regard ». Et il n’eu pas besoin d’en ajouter davantage non plus.
De retour au pavillon, alors que nous pénétrions l’entrée, Philippe vint contre moi. Je pouvais percevoir son odeur, sentir sa chemise en coton contre mes mains. Il m’embrassa alors, ses lèvres fermes rencontrant les miennes. Surpris, puis en extase, je me perdis dans son étreinte. Une langue épaisse et dure franchit mes lèvres, que j’accueillis avec plaisir. Philippe disposa un moment de ma bouche comme il l’entendait, puis il mit fin à l’échange. Je brûlais de désir. Il me guida, calmement, une main dans mon dos, dans une chambre. Il m’ordonna de me dévêtir, et en fit de même, tout en me fixant. Il m’attira ensuite contre lui. Mes mains étaient plaquées contre sa peau encore ferme, bien que marquée par l’âge. Je m’étonnais à nouveau de ses muscles dessinés, de ses pectoraux robustes et imberbes. Sa queue était dressée contre moi, démesurée de grandeur.
— Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
J’obéis immédiatement. Philippe admira un instant mon corps offert, ...