1. Soumis par le père de ma copine. (2)


    Datte: 27/05/2022, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... son corps et ses bras noueux. A mesure que mon regard s’appesantissait sur lui, ma gorge s’asséchait et je sentais monter en moi un irrésistible désir. Alors que je me saisissais de mon propre vélo, j’osais une remarque :
    
    — La dernière fois également, nous étions partis en excursion.
    
    Philippe se contenta de me sourire, me tendit un casque et nous nous mirent en route. Les environs étaient à couper le souffle, nous slalomions entre les vallées, grimpant au milieu de chemins verdoyants. Ma tenue dégorgeait de ma sueur, à laquelle se mêlait celle Philippe dont elle était déjà imbibée. Nous ne parlâmes que rarement, hormis pour nous indiquer des points de vue dignes d’intérêt ou des animaux qui fuyaient à notre passage. Nous ne croisâmes personne. Philippe garda un rythme calme, mais soutenu. J’étais concentré, profitant de l’effort pour apurer toutes mes pensées parasites. Je trouvais agréable le fait de pédaler ainsi, de concert.
    
    Notre virée prit fin au sommet d’une haute colline, sur un promontoire isolé. Laissant mon vélo contre un arbre et je m’avançais sur la saillie. Nous avions bien grimpé, en contrebas, je pouvais apercevoir la vallée pluvieuse et silencieuse. Je repris mon souffle, et mes forces, en contemplant le paysage, puis je me retournais vers Philippe. Il se tenait face à moi, un pied surélevé posé sur un rocher, ses mains négligemment posées sur ses hanches, son short distendu par son imposante virilité que j’avais soigneusement tenté d’occulter ...
    ... jusqu’alors. Mon pouls s’emballa aussitôt. Philippe me fixa, puis me dit :
    
    — Approche.
    
    La gorge sèche, j’obéis à sa voix profonde. Ses yeux d’acier fixés sur moi, il attendait, stoïque, que j’atteigne sa hauteur. Il posa alors son majeur sur mes lèvres, et lentement, le fit pénétrer dans ma bouche. Son regard planté dans le mien, je laissais son doigt circuler, mes lèvres humidifiant les poils gris de ses phalanges. Il caressa mes lèvres, le bout de ma langue, puis m’ordonna :
    
    — A genoux.
    
    Répondant à l’ordre impérieux, je me mis à terre, mes articulations enfoncées dans le sol détrempé, faisant face au short en lycra de Philippe mis à rude épreuve par la colossale verdeur. M’attrapant la tête d’une main, il avança doucement mon visage vers son bassin. Ma bouche se retrouva plaquée contre l’énorme membre qui bosselait le tissu. Je voulus le saisir, mais Philippe m’en empêcha. Fou de désir, je n’eus d’autre choix que de m’activer à l’aide de mes lèvres. Je tentais d’attraper et de faire glisser le membre que je sentais dur et chaud. Philippe, examinateur silencieux, se divertissait de mes efforts à saisir sa queue inaccessible. Je respirais bruyamment, embrassant, suçant et léchant sans aucune retenue son entrejambe. Ma salive se mêlait à la sueur de son short, et je pouvais à présent voir le gland imposant se dessiner en transparence.
    
    — Elle te fait toujours autant envie, n’est-ce pas ?
    
    Je levais les yeux vers Philippe qui s’était adressé à moi d’un ton calme. Il ...
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