1. Soumis par le père de ma copine. (2)


    Datte: 27/05/2022, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... lut ma réponse dans mes yeux. Il me fis alors signe de me relever. Je repris un peu le contrôle de moi-même, le sang battant dans mes tempes. Il n’avait fallu qu’un instant pour que le jeune homme un peu gauche que j’étais, ne devienne un sous-fifre docile avide de son membre viril. Philippe n’était pas le seul à bander copieusement, mon propre short était barré de l’érection de ma vie. Je crevais d’envie de me jeter à ses genoux et de laisser l’engin obstruer ma bouche, sentir sa dureté me posséder. Et Philippe le savait pertinemment. Tout comme il savait que plus il prolongerait l’attente, plus je devenais malléable à ses désirs. Je le vis enfourcher son vélo. Je pris sa suite, et nous pédalâmes en direction du pavillon.
    
    Le retour ne fut pas aisé, entre les images qui occupaient mon esprit, et mon érection qui ne se calmait pas, je finis le trajet dans un état second. Une fois arrivé à la demeure, Philippe m’ordonna de laisser mon vélo en plan, d’aller me doucher et de le rejoindre dans le dressing. L’eau chaude m’apaisa un peu sans pour autant éteindre mon désir. En sortant de la pièce, je découvris que j’avais cette fois le luxe d’avoir d’une serviette à disposition, ainsi que des vêtements laissé à mon intention. Un pantalon, une chemise et une cravate. Je m’en vêtis avant de rejoindre Philippe qui m’attendait. Il portait une chemise blanche au col bleu évasé, une cravate au nœud impressionnant, aux tons bleutés et cuivrés, et un pantalon noir simple et ...
    ... cintré.
    
    — Entre.
    
    Je fis quelques pas tandis qu’il m’examinait sans pudeur. Philippe avait une prestance folle et je me sentais aussi timoré que la première fois où j’avais croisé son regard.
    
    — Mets-toi genoux. - M’ordonna-t-il.
    
    J’obtempérais. Il dégageait une autorité presque palpable.
    
    — Embrasse mes chaussures.
    
    Déglutissant, je me mis à avancer graduellement ma tête, mais un claquement de doigts sonore, au niveau de mon visage, me pressa :
    
    — Plus vite que ça.
    
    Je me jetais sur ses chaussures lustrées, y apposant mes lèvres. Mon cœur battait la chamade et la voix caverneuse de Philippe résonnait dans mon crâne. L’odeur du cuir envahit mes narines. Tandis que je me mis à baiser les godasses de celui qui me dominait, il joua à nouveau de sa voix :
    
    — Lorsque je donne un ordre, tu obéis.
    
    Je hochais la tête, mais ce ne fut pas suffisant. Philippe m’agrippa par le nœud de cravate et redressa mon menton :
    
    — Je veux entendre oui Monsieur.
    
    Une adrénaline chaude parcourut mon corps.
    
    — Oui Monsieur.
    
    Philippe resta de marbre, me fixant toujours, puis, me tenant toujours par la cravate, il fit glisser la fermeture sa braguette de son autre main, d’un geste lent et étudié. L’engin était encore plus imposant que dans mes souvenirs, lisse, massif et démesuré. Philippe ne bandait pas, pas encore, mais son gland était déjà parfaitement visible. Il me laissa me repaître de la vision de son membre qu’il laissa choir devant à moi. Mes yeux trahissaient mon désir. ...
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