1. Une petite Bastille ?


    Datte: 27/05/2022, Catégories: hh, inconnu, sport, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, facial, Oral gay Auteur: Pastabel, Source: Revebebe

    ... je ne l’aurais pensé. J’ouvrais et fermais compulsivement la bouche, donnant des petits coups de langue à son gland qui dégoulinait encore de sperme. Le goût du foutre, je ne sentis plus que ça. Romain se calma progressivement, je le vis bien. Il appuya encore son gland sur ma bouche en faisant le tour de mes lèvres. Il ne souriait pas, il était trop concentré. Je continuai de lécher les gouttes qui s’échappaient encore par son méplat jusqu’à ce que son chibre fût propre et qu’il se recula.
    
    Mes jambes s’étaient écartées et mes fesses touchaient par terre. Il m’avait lâché les cheveux et je posai mes bras derrière moi pour me reposer. Ainsi incliné vers l’arrière, je regardai alors pour la première fois la scène dans son ensemble. Je continuai de me lécher les lèvres et j’avalai par petits coups ce foutre qui était partout dans ma bouche. Il était beau. Debout, las, exténué. Il se massa les couilles et continua de se branler légèrement. Il me sourit de nouveau.
    
    — Hmmm. Tu mérites bien plus que ça, toi, dit-il sur un ton secret et langoureux.
    — C’est trop bon… Tu me fais tout ce que tu veux.
    
    Je regrettais d’avoir dit ça, mais j’étais vaincu, il fallait bien l’admettre.
    
    — De voir ton p’tit cul, là, ça m’a rendu dingue !
    — Il te plaît ?
    
    En disant cela, j’ai caressé mon entrejambe, puis mon torse, en soulevant un tout petit peu mon tee-shirt. Je bandais encore, mais un peu mou. J’avais été emporté par mon élan de satisfaire ce mec jusqu’à l’orgasme, le plus fort ...
    ... possible.
    
    En me retournant, je remarquai une vitre brisée posée contre le mur derrière moi. Dans le reflet en demi-teinte, je pouvais nous discerner, lui debout et moi nonchalamment assis par terre, dans une posture lascive tout à fait indécente. C’est qu’il avait de la suite dans les idées, mon étalon ! J’allais lui faire la remarque d’un air narquois lorsque des éclats de voix retentirent. Panique. Quelqu’un venait par le couloir. Romain remonta prestement son futal et se retourna alors que je m’essuyais la gueule désespérément sur mes petites manches synthétiques qui n’absorbaient rien. Je me relevais en hâte et Romain me fit signe de le suivre. En sortant de la pièce, un groupe de quatre jeunes nous interpellèrent. Il y eut quelques interjections, mais ils étaient heureusement encore loin et n’étaient pas montés par le même escalier. Il fut facile de s’enfuir.
    
    En sortant au grand air, je laissais le bonheur s’emparer de moi. Je respirai profondément et sentis la brise tiède me caresser les bras. Les jeunes ne nous suivaient pas. J’avais du mal à croire que je venais de sucer un mec quelques instants plus tôt. C’était complètement fou ! Romain se retourna et me dit, goguenard :
    
    — Il t’en reste un peu, là, en montrant le coin de sa bouche.
    — Et ? répondis-je d’un air de défi.
    
    Il s’approcha alors de moi et, après quelques coups d’œil de chaque côté pour s’assurer qu’il n’y avait personne, me lécha vigoureusement le visage.
    
    — Aaah ! Dégueu ! fis-je, alors que ...