Aldo l'homme à tout faire - Histoires de Sexe

Aldo l'homme à tout faire

... sur mon visage.

— Tiens, Aldo, c’est cadeau ! Et occupe-toi de Juju maintenant…

Sa culotte sur mon nez, je respire cette odeur de musc et de fragrance mélangée et c’est excitant.

Véronique quitte la pièce avec un grand sourire complice. Puis elle ferme la porte de sa chambre.

— Caresse-moi la chatte ! Mets tes doigts dans ma chatte, fais-moi mouiller avant que je monte dessus.

Je m’exécute :

— Tu préfères ma main ou…
— Ta main et tu jugeras quand je serai à point pour y mettre ton phallus comme dit Véro.
— Tu t’es remise de la pipe royale que tu m’as faite ce matin ?
— Oui, je me suis surtout lavé la bouche… tiens, embrasse-moi la bouche.

Je la pénètre de la main, elle est déjà bien humide, la foufoune à Juju. Elle se donne entièrement bras et jambes écartées, donnant des petits coups de reins pour que mes doigts la pénètrent davantage, elle pousse des petits cris de plaisir. De mon pouce, je lui masse le clitoris.

— Oh, c’est bon ça, continue encore !
— Mes doigts qui te fouillent la chatte tu aimes ? Ma bite dans ta bouche, tu connais, mais dans ta chatte tu vas jouir comme une chienne.
— Mais j’ai eu un orgasme en te suçant, j’ai pas tout pris, mais dans ma chatte tu mettras tout, hein ? Je veux que tu me remplisses le ventre.
— Oui, je me glisserai jusqu’au fond jusqu’à ce que mes couilles te battent le ventre.
— Oh, c’est bon, Aldo, je vais jouir.
— Viens, Juju, monte-moi sur la queue et pistonne bien à fond, tu dégoulines de jute ...

... maintenant, tu es à point.

Disant cela elle me chevauche, sans perdre un instant elle me saisit la verge et se caresse toute la fente vulvaire, frottant, frappant vigoureusement son clitoris. Elle ferme les yeux et se concentre sur son plaisir, moi je deviens de plus en plus dur et quand elle le pense à point, elle s’introduit mon phallus au plus profond de son vagin. Elle mouille beaucoup, preuve de son excitation, ses tétons sont devenus tout bruns, plus longs.

— Une bite grosse comme ça, j’en ai rêvé. Ce matin quand je t’ai sucé, je ne pensais qu’à une chose : baiser avec toi le plus vite possible, me faire remplir par ton sexe.
— Tu vois, tes vœux sont exaucés… tu peux demander n’importe quoi à Aldo. C’est bizarre, plus tu me flattes, plus ça durcit.
— Oui, eh bien, baise-moi fort ! Vas-y, remue ta queue dans ma chatte, donne des grands coups comme tu as donné à ma sœur. Vas-y, défonce-moi, j’aime, ça me rend folle cette grosse queue raide dans mon ventre.
— Vas-y, soulève-toi et reviens te faire ramoner, moi j’aime te pénétrer doucement, profondément. Viens, écrase mes couilles avec ta chatte.
— Surtout, ne jouis pas tout de suite, je voudrais que tu me prennes par-derrière.
— Oui, ça s’appelle une levrette.
— Je m’en fous ! Allez, viens, fais-moi bien cette levrette tant attendue, on est pressés.

Elle se met en position, le cul relevé au maximum, jambes bien ouvertes, je me poste derrière elle la bite à la main, cherchant l’orifice. Son petit trou brun semble ...