Aldo l'homme à tout faire - Histoires de Sexe

Aldo l'homme à tout faire

... l’intérieur des cuisses, me frôle les couilles puis le ventre, quitte à rencontrer la main de sa sœur sur le même parcours. Ma queue ne tarde pas à s’exprimer et redevient toute raide.

— Mais c’est quoi, Véro, ce grand truc tout droit, tout dur, qu’il a sur le ventre ?

Véronique prend ma bite à pleine main et explique à sa sœur :

— Ce que je tiens dans la main, c’est un phallus, ça sert à faire plaisir aux femmes et à faire éventuellement des enfants ! Tu peux toucher, caresser, les hommes aiment ça !

Les filles, émerveillées, se partagent mon sexe en prodiguant des caresses, des compliments les plus flatteurs. Ma pine est tendue verticale, tel l’obélisque d’une fameuse place à Paris. Moi qui aime les femmes, j’en ai deux pour moi seul : deux belles chaudasses en chaleur, en plus. Une petite jeune avec de petits seins, un petit cul et une petite chatte, l’autre grande, une belle poitrine, un cul majestueux et une grosse chatte gourmande.

Véro prend ma pine en bouche, puis avec délicatesse l’offre à sa sœur, qui lèche doucement le gland turgescent.

— Et on peut jouer avec ce phallus ? Je peux monter dessus ?
— Oui, tu peux essayer, mais ne te fais pas mal, va doucement, ce sera bon !
— Aldo, je peux te monter dessus ?
— Oui, mais demande la permission à ta sœur, c’est elle la patronne ici.
— Oui Juju, au point où on en est je ne peux rien te refuser… Au fait, comment se fait-il que vous vous tutoyiez ?

On est pris la main dans la culotte si on peut ...

... dire.

— Ben, sœurette, je ne sais pas, c’est venu comme ça.
— Ah oui, tu me prends pour une bécasse, et la tache de sperme sur le sol de la cuisine et sur ton chemisier c’est du sirop d’agave ou du foutre de jardinier ? Et le rouge à lèvres sur sa queue et ses couilles ? Petite salope, tu baisais avec Aldo sans me le dire, et depuis quand ?
— Ce matin, c’est tout, juste une fellation, vite fait, debout dans la cuisine… On n’a pas baisé, je te le promets !
— C’est vrai, Aldo ?
— Oui, Madame… euh… Oui, Véronique, je croyais que c’était pour me remercier du dépannage !
— Arrête de faire l’idiot, Aldo… Tu n’es qu’une queue et je t’adore, mais on va se revoir.
— Je crains déjà votre châtiment, Madame !
— Bon, je vais aller prendre une douche et je vous retrouve dans le salon. Prenez votre temps, je vous prépare un bon café, ce sera la troisième mi-temps !
— Merci sœurette, je t’aime.

Julia entretient mon érection avec application : des caresses sur les couilles, une petite branlette, un petit coup de langue…

La belle Véronique, nue, se lève du lit et se dirige vers la porte. Provocante, elle agite son superbe cul en se baissant vers l’avant pour ramasser sa culotte sur le sol. Elle nous offre deux fesses blondes et rondes séparées par la raie plus sombre qui s’ouvre sur sa chatte dilatée, les lèvres entrouvertes, le clitoris émergeant. C’est d’une tentation diabolique !

Puis, par moquerie ou provocation, elle se retourne, nous lance sa culotte blanche qui atterrit ...