1. Aldo l'homme à tout faire


    Datte: 19/05/2022, Catégories: fh, ffh, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, totalsexe, Auteur: Acajou, Source: Revebebe

    ... bonheur. Le mot « comblées » est choisi à bon escient, j’aurais pu dire « remplies », mais c’eût été un peu vulgaire.
    
    Tous les trois on éclate de rire.
    
    — C’est vraiment gentil, Véro, tu es un amour de femme, merci pour le compliment, mais le plaisir était partagé, je crois.
    — Je ne vais pas rester longtemps, j’ai un cours à la fac cet après-midi, là, il faut que je file me préparer, je vous laisse.
    
    Elle s’approche de moi, m’embrasse de façon bien appuyée sur la bouche, et me chuchote :
    
    — À plus, Aldo ! Ma chatte ne t’oublie pas, c’est quand tu voudras.
    
    Elle s’en va, quittant la grande pièce en remuant son petit cul provocant. On l’entend chanter : Véronique nique nique…
    
    — Elle moque de moi en plus ! Enfin, pour une fois que c’est vrai.
    — Bah, laisse tomber, elle plaisante, y’a pas de quoi fouetter une chatte, elle est heureuse pour toi et pour elle… Bon, là, je vais partir moi aussi.
    — Viens ! Fais-moi un petit câlin avant de partir.
    
    Elle ouvre son peignoir et écarte ses jambes.
    
    — Embrasse ma chatte, dis-lui à bientôt, allez, s’il te plaît !
    
    Je me mets entre le compas de ses cuisses ouvertes, le nez dans sa touffe pubienne. De ma langue, je titille le clitoris, elle s’ouvre davantage, ...
    ... s’offrant plus encore. Je lève la tête.
    
    — Tu as une chatte magnifique, tu sens bon, tu sens la femme. Au revoir, chatte rousse !
    — Ça te va bien une moustache rousse !
    
    Elle m’enserre dans l’étau de ses cuisses, puis me relâche :
    
    — Allez, va-t’en maintenant ! Tu as assez donné pour aujourd’hui.
    — Tu ne voudrais pas que je te fasse la pelouse.
    — Si tu me le demandes gentiment, je le ferai moi-même, pour toi.
    
    Je me relève, elle referme son peignoir.
    
    — Embrasse-moi et casse-toi.
    
    Je me penche, je l’embrasse goulûment, nos langues s’emmêlent, elle en profite pour saisir mon entrejambe.
    
    — Mais tu bandes encore ! Dommage de te laisser partir comme ça. Au revoir, belle bite, reviens-moi vite ! Va-t’en sinon ça va dégénérer.
    — Tu ne perds rien pour attendre, ma belle cochonne !
    — Je te prends au mot, bite en bois de mes rêves !
    — Je te prends ailleurs, beau cul d’enfer !
    
    Je sors de l’appart, je rejoins ma voiture, il est presque midi. Sur le pare-brise, il y a un mot :
    
    — Aldo, soyez gentil mon chou, mon ordi ne s’allume plus, vous pourriez passer vers 14 h ! Brigitte n° 28 »
    
    Cette fois je suis décidé à garder mes forces, ne pas céder… Mais au fait, je ne l’ai pas déjà baisée cette Brigitte… ?
    
    FIN 
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