Aldo l'homme à tout faire - Histoires de Sexe

Aldo l'homme à tout faire

... pleines dans la chatte de Madame.
— J’y pensais à peine, j’attendais votre orgasme, du sperme chaud me fera du bien, je dégoulinerai de plaisir.

Elle se met en position, m’offrant son cul majestueux, cuisses écartées, sa vulve tuméfiée, rougie, béante, palpite. Je me mets en enfilade derrière elle, je l’enfile aussitôt sans ménagement en poussant un « han » de bûcheron. Elle m’accompagne, moi avançant, elle reculant plusieurs fois, je sors entièrement mon sexe puis la pénètre à nouveau jusqu’à ce que mes couilles battent son bas-ventre, jusqu’à la garde. Je la tiens par les hanches pour mieux maîtriser l’équilibre de notre chevauchée endiablée… Puis c’est la jouissance. Je me laisse aller à pistonner ce ventre chaud, envoyant plusieurs giclées de sperme… Je me retire, je m’allonge près d’elle, ma verge encore raide, dégoulinante, luisante de nos sécrétions mélangées.

— C’était merveilleux, j’ai joui comme jamais… Tu es un bon coup, Aldo.
— Merci pour compliment, mais j’ai eu beaucoup de plaisir aussi, et c’est un hommage à ta beauté.
— Décidément, Aldo tu me flattes, mais j’aime ça et je pense déjà à la prochaine fois.
— Mais il y a ta sœur ?
— Eh bien, on ira à l’hôtel ou chez toi.

La porte de la chambre n’était pas fermée.

— Je peux venir ? J’ai froid.

C’est Julia sur le seuil de la porte qui entre toute nue, juste une main sur la chatte lui servant de cache-sexe. Toute timide, avec un sourire malicieux qui me ravit, elle s’approche du litking size. ...

... Julia a replié ses jambes pour cacher son entrejambe, et moi, l’érection chancelante, je reste spectateur.

— Je ne vous voyais pas revenir, j’ai cru que vous aviez besoin d’aide !
— Tu te fous de moi ? De nous ?
— Non, sœurette… j’ai entendu du bruit puis plus rien, mais j’ai attendu la fin.
— La fin de quoi ?
— De votre partie de jambes en l’air pendant que moi, je me morfondais devant la télé. J’avais coupé le son pour mieux entendre tes gémissements de plaisir et j’étais heureuse pour toi, ma grande sœur. Je peux venir là sur le lit ?
— Oui, tu peux, mais Aldo au milieu, alors !

Aussitôt dit, la jeunette vient se blottir contre moi, collant son bas-ventre contre ma cuisse, sa poitrine contre la mienne

— Oh, il est chaud, Aldo, ça fait du bien !

Elle me caresse les pectoraux, les abdominaux.

— Oh, il est costaud, Aldo.
— Moi aussi j’ai un peu froid, tu me réchauffes, Aldo ?

Comme sa sœur, Véro vient se coller de l’autre côté, sa chatte sur ma cuisse et ses seins sur mon autre flanc, elle agite son bas-ventre contre moi, comme pour trouver la position idéale ou se donner du plaisir. Véronique m’embrasse amoureusement sur la bouche pendant que sa main me caresse la poitrine et le ventre. Moi j’ai les mains sur leurs fesses que je caresse ou claque gentiment, ce qui a pour effet de les rendre plus excitées.

— Mesdames, vous avez la peau douce, c’est un plaisir de vous caresser.

C’est tout de même Julia qui est encore en demande, elle me caresse ...