1. Du rêve à la réalité


    Datte: 19/05/2022, Catégories: hh, hbi, jeunes, hépilé, vacances, hsoumis, hdomine, cérébral, Oral hsodo, init, journal, gay Auteur: Dommi, Source: Revebebe

    ... boutoir. Je sens à sa respiration son excitation grandir, sa jouissance est proche, le tempo se saccade, il ouvre la bouche, cherche de l’oxygène, il ralentit, les premiers spasmes annoncent sa jouissance : « Aaaah Oooui je jouiiis ». Il décharge dans son vide-couilles… frustrant, humiliant… désagréable est un faible mot.
    
    Il sort sa queue souillée de sperme et de mes sucs sodomites :
    
    — Lana, fais ma toilette.
    — Mais avec plaisir, Monsieur.
    
    Je déconne complètement… je me soumets. Agenouillé dans l’herbe, il s’avance juste ce qu’il faut et me la glisse dans la bouche, un mélange curieux, un goût bien différent : sperme, reste d’huile d’olive et sucs anaux ! Une fois terminé mon service, il me tend la main, m’aide à me relever, ramasse mon short et me le tend.
    
    — Tu es croisé avec une bête, tu viens de m’enculer sauvagement, sans aucune attention pour moi, j’espère au moins que tu as bien joui.
    — J’ai joui de manière somptueuse, en plein air c’est très excitant, je t’ai prévenu : j’ai de gros besoins et une énorme envie de toi. Et puis le sexe ce n’est pas que : sensualité, douceur, érotisme, volupté… C’est quelques fois plus bestial, animal, spontané, subit. Le lieu… inattendu… pas toujours un lit ou dans l’intimité confortable d’une maison. Tu dois apprendre à te lâcher, te soumettre avec naturel et sans tabous si tu veux en apprécier l’instant, fût-il fugace.
    
    J’écoute, je n’arrive pas à saisir le sens de ses mots, je suis victime d’une surcharge cérébrale, ...
    ... tout cela c’est beaucoup trop. Pour moi cette saillie bestiale n’a qu’un point positif : aucune douleur violente. J’ai fait l’erreur de remettre mon short trop tôt : ça me coule le long des cuisses et de la main je détecte une tache de foutre en formation sur mon short. Quelle honte si jamais quelqu’un me voit.
    
    — Philippe, j’ai besoin de temps, tu ne te rends pas compte de l’énormité de ce que tu me fais vivre, j’ai accepté ce matin… Juste un peu de patience, là j’ai l’impression d’être dans une sorte de formation accélérée et j’ai du mal suivre. De plus mon cul aussi a du mal à suivre, il a besoin d’un arrêt au stand, il chauffe.
    — Allez viens, rentrons, je vais m’occuper de toi.
    
    Nous repartons sur le sentier ou deux minutes avant il m’enculait allégrement. À peine avons-nous fait quelques pas, que surgit une poignée d’ados, filles et garçons, qui déboulent sur le sentier devant nous sur leurs cyclomoteurs !
    
    Je le regarde. Le sourire au coin des lèvres, il est plié en deux !
    
    — Oui je sais, il ne passe jamais personne… à part eux !
    
    Mais, sans aucune pudeur, lorsque nous arrivons à leur hauteur il glisse sa main dans mon short… Quel gros pervers, ça l’excite. Nous arrivons dans la maison, il m’entraîne vers la salle de bain.
    
    Il me déshabille et à son tour fait de même. Il m’entraîne dans la douche, règle le mitigeur. L’eau est à peine tiède, il me shampouine, me rince les cheveux méticuleusement, puis me savonne avec le gel douche, masse agréablement chaque ...