1. Du rêve à la réalité


    Datte: 19/05/2022, Catégories: hh, hbi, jeunes, hépilé, vacances, hsoumis, hdomine, cérébral, Oral hsodo, init, journal, gay Auteur: Dommi, Source: Revebebe

    ... refroidissantes. Curieusement et sans pouvoir l’expliquer, j’aime être possédé(e).
    — Eh bien c’est un très bon début, j’en étais certain, tu as un don. Je vais faire un petit expresso avec un petit remontant.
    
    Après un petit café et un shoot de whisky, direction le salon et sa fraîcheur relative pour un moment de détente sur fond musical. Toujours les Pink Floyd, l’albumWish You Were Here… Rapidement je sombre, épuisé par nos ébats, les chocs émotionnels de ces dernières heures.
    
    Il est plus de 17 heures quand je sors de ma torpeur. Philippe bouquine.
    
    Me voyant émerger, il me propose une petite balade ; il fait toujours très chaud. Nous ne sommes pas sortis de la maison depuis plus de 24 heures.
    
    Nous partons dans la campagne… seules quelques vaches… mais pas de présence humaine. Nous déambulons en baskets et tee-shirts. Nous parlons de sujets plutôt bucoliques, néanmoins sa main dans mon short caresse mes fesses.
    
    Nous marchons le long du sentier. Sans pudeur, il glisse un doigt entre mes lobes et flirte avec mon bourgeon perverti encore gras d’huile d’olive. Il me pénètre sans véritable résistance, je suis encore dilaté de ma dernière sodomie, je regarde de tous les côtés de peur d’être vu.
    
    — Philippe, arrête s’il te plaît, si quelqu’un nous voit…
    — On ne croise jamais personne le dimanche au milieu des prés, ne fais ta timide ou je te prends là, tout de suite, sur le sentier… attention à toi : ton cul dilaté m’excite terriblement, et puis d’ailleurs je ...
    ... te dois une punition. Tu m’as mordu. Enlève-moi ce short immédiatement.
    — Ne déconne pas Philippe… Tout ce que tu veux, mais pas là : on peut nous voir, c’est pas cool.
    — Lana, je veux quand je veux, enlève ce short et prends appui sur la clôture.
    — T’es vraiment un gros porc.
    
    Aucune émotion chez le porc. Je suis nu, j’ai juste gardé mes Converses, il me demande d’écarter les jambes et de me cambrer.
    
    Les deux mains appuyées sur un poteau de clôture, je regarde de droite et de gauche si sous sommes visibles… rien a priori. J’obéis. Nous sommes à moins de cent mètres de la petite route et à peine à deux cents mètres des premières maisons du village, dont celle de Philippe.
    
    Lui a juste baissé son short, son énorme trique bien raide, il avance entre mes jambes. Je sens déjà sa verge dans mon sillon. Il crache dans sa main, s’en enduit le gland et le pointe… Quelques poussées… Il passe comme une lettre à la poste !
    
    Mes sphincters ont abandonné. Sans clémence, il m’enfile le reste de ses vingt centimètres… Petite douleur… Sans doute l’appréhension et le réflexe de contraction de mes sphincters comateux… j’encaisse sans plainte. Plus que la douleur, une sensation d’échauffement et toujours cette impression d’oppression. Les va-et-vient commencent et déjà le mode pilonnage. Je retrouve mon vocabulaire de joueuse de tennis… « Aaahooooo ». Je ponctue chaque coup de pieu avec la même sonorité. Pas de sensualité, c’est bestial. Mon corps entier est secoué par ses coups de ...