1. Du rêve à la réalité


    Datte: 19/05/2022, Catégories: hh, hbi, jeunes, hépilé, vacances, hsoumis, hdomine, cérébral, Oral hsodo, init, journal, gay Auteur: Dommi, Source: Revebebe

    ... le tour, peut-être cinq à six centimètres. Dessous pendent ses grosses bourses, de gros abricots bien mûrs, lisses également. Je regarde vers mon entrejambe… Quel contraste : mon micro-sexe, mes testicules plus proches de la noisette et une érection de dix centimètres et à peine trois de largeur. Nous ne sommes pas dans la même catégorie, je suis fait ainsi…
    
    Je tourne, me place en travers du lit, dans l’axe de son phallus. Allongé sur le ventre, le visage à quelques dizaines de centimètres du monstre. J’observe, je hume l’odeur de mâle, sans explication tangible, je bande !
    
    Ce sexe géant me captive et surtout il m’excite !
    
    Ce n’est pourtant pas la première : j’en ai vu des queues… En premier lieu celle de Philippe à plusieurs reprises… oui c’est vrai, mais jamais en érection… celles de mes copains dans les vestiaires… J’en ai même vu dans des revues érotiques, des films x…
    
    Je la contemple : voilà qu’elle bouge, d’infimes spasmes… Ce bâton de chair vit, exprime ses désirs… Une gouttelette translucide perle à la pointe de son gland, trahissant les lubriques pensées de son propriétaire. Le regard figé sur cette trique, je suis en érection totale… cette vision affole mes sens. Une nouvelle goutte de pré-sperme pousse la précédente, elle roule au ralenti sur sa tige. L’image est d’une puissance érotique infernale, diabolique ; cette goutte, cette queue m’attirent ostensiblement. J’approche la pulpe de mon doigt, pour tenter d’en collecter le nectar.
    
    Cet infime ...
    ... contact éveille le monstre. Spasme éphémère… le sang pulse, ses veines le long de sa hampe se gonflent, l’érection est absolue, grandiose. Je pose le doigt sur mes lèvres : l’élixir aphrodisiaque m’enivre.
    
    Mes lèvres sont à portée de l’olisbos de chair, elles le tutoient. Ce baiser signerait ma reddition sans condition, ma capitulation conditionnant ma luxure, ma dépravation, ma soumission.
    
    Un spasme voluptueux agite le membre, une nouvelle goutte surgit de son méat, le désir me fait saliver… naturellement j’humidifie mes lèvres. Envoûté, j’abdique, j’abandonne toute résistance, la pointe de ma langue cueille les perles de son nectar, je titille son méat pour libérer sa sève animale, puis mes lèvres humides se posent, gobent et engloutissent ce gland.
    
    Je l’embouche avec délicatesse, je l’aspire avec convoitise, ce dard. Je viens de renoncer à mon honorable hétérosexualité, à ma virginité anale… j’accepte ma bisexualité féminine. Chaque centimètre englouti m’engage davantage dans cette débauche promise. Ce gros sexe me remplit parfaitement la bouche, mes mains flirtent sur son pubis et ses grosses couilles pleines de jouissances futures.
    
    Ma langue s’agite sur son gland brillant de ma salive, son sexe palpite sous mes caresses, les indices de son plaisir m’excitent, je veux sa sève, je veux la déguster. Studieux, investi dans mes caresses, je sursaute lorsque sa main m’effleure et se pose sur mes fesses…
    
    La bête est éveillée, sa main s’active voluptueusement d’un lobe ...
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