1. Du rêve à la réalité


    Datte: 19/05/2022, Catégories: hh, hbi, jeunes, hépilé, vacances, hsoumis, hdomine, cérébral, Oral hsodo, init, journal, gay Auteur: Dommi, Source: Revebebe

    ... douleur de mon dépucelage n’est pas totalement oubliée, il reste encore quelques séquelles, mais les sensations sont plus agréables. J’aime ses coups de reins possessifs, sa présence devient plus naturelle, bien qu’imposante.
    
    — Branle-toi salope, jouis !
    
    Il me faut une nano seconde pour interpréter son ordre. Je saisis mon gland tout dur et je le masse énergiquement. En un instant et comme une conne (là désolé, mais je ne vois comment dire autrement) je jouis à sa demande.
    
    — Waouh, Oh ooui.
    
    Incroyable, je n’en finis pas d’éjaculer, j’ai toujours eu l’éjaculation spectaculaire et là c’est le cas… Mon sperme macule nos ventres. Je ferme les yeux pour savourer cet orgasme intense.
    
    Philippe sort de mon cul. Je plane encore sous le choc de ma jouissance. Du regard il m’indique ce qu’il attend… Je descends de la table, je m’incline, puis quand je suis à genoux, il me glisse son membre dans la bouche. Je ne le suce pas : il me baise la bouche, me tenant par les cheveux… un vrai sauvage.
    
    Je bave, en émettant des bruits de siphon humides bien sonores.
    
    Il s’enfonce loin dans ma gorge. J’étouffe, je salive un max… un haut-le-cœur, à la limite de vomir, de l’asphyxie…
    
    — Aaaah… je jouiiis !
    
    Et il décharge, planté entre mes lèvres. Je cherche de l’air, je suffoque… besoin de respirer… court moment de panique… avaler… respirer… pas facile de choisir… Le sperme déborde aux commissures de mes lèvres. Je reprends mes esprits. Un peu d’oxygène et je bois le ...
    ... fruit de son plaisir.
    
    Encore sous de coup de mon orgasme, à genoux, les yeux fermés, un instant je pense à ces folles premières heures, à ma nouvelle sexualité, à mon nouveau genre !
    
    J’ouvre les yeux, Philippe s’est assis sur le banc le long de la maison. Il me montre du doigt les vestiges de ma jouissance et sa queue souillée de nos liqueurs.
    
    — Lana, lèche-moi ça, nettoie tes dégâts.
    
    Ben voyons, pourquoi faire l’offusquée au point où j’en suis… en tout cas pas pour quelques gouttes de nos spermes. À quatre pattes je me dirige vers son entrejambe.
    
    Je commence par le ventre. Je le lèche, découvrant le goût de mon propre jus, un peu différent, moins dense que celui du mâle pénétrant. Je lape, lèche, avant de terminer par sa queue toute molle.
    
    Un dernier coup de langue, je me relève et j’en profile pour lui mordre un téton que croise ma bouche :
    
    — Salope, tu ne perds rien pour attendre, petite chienne qui marche si bien sur ses quatre pattes.
    
    Je m’en moque, je suis certaine que je vais aimer cette punition.
    
    — Alors, dis-moi comment as-tu trouvé ta jouissance ?
    — J’ai joui fort, je pense n’avoir jamais eu un orgasme aussi exaltant. Jusqu’ici, mon excitation y est pour beaucoup. La pénétration c’est bien plus nébuleux, j’ai beaucoup d’appréhension et c’est encore douloureux. J’avoue ressentir, par petites vagues, des sensations totalement inconnues, très sensuelles, agréables, malheureusement elles sont parasitées par d’autres, fortement nuisibles, et ...
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