Du rêve à la réalité - Histoires de Sexe

Du rêve à la réalité

... sur la table Lana, pose tes fesses bien au bord, écarte un peu les jambes.

Philippe se positionne entre mes jambes.

— Penche-toi légèrement en arrière, écarte un peu les cuisses que je t’assaisonne.

Armé du flacon d’huile d’olive, il m’enduit l’anus ; ses doigts experts jouent avec ce bourgeon juste défloré et encore douloureux. Un premier doigt perce mon œillet sans véritable résistante. Il s’enfonce, me masse les sphincters encore sensibles. Nouvelle érection, je bande, les mouvements charnels de ce petit dard m’allument sensuellement. Je sens un deuxième doigt sonner à la porte de Sodome… Une petite douleur, un petit effort et je l’accueille. Cette présence accentue la pression charnelle sur mon anus. J’apprécie ce stimulus. Ma main s’apprête à partir masser mon gland frustré. À peine ai-je amorcé un mouvement de ma main :

— Pas touche.

J’ai une furieuse envie de l’injurier. J’ai tellement besoin de jouir, mais il s’arrange pour rapidement me trouver un nouveau sujet captivant :

— Desserre tes cuisses.

En un dixième de seconde, ses doigts quittent mon cul. Son sexe enduit d’huile d’olive en main, le gland pointé contre mon anus, il me perfore. Sans à coup, une longue et lente poussée douce et continue. Je ferme les yeux… Je souffre, mais rien à voir avec la violence de ma première fois. Pas un son ne trahit cet instant pénible.

Mes jambes calées dans le creux de ses avant-bras, ses mains arrimées à mes cuisses, je me laisse choir sur le dos, ...

... complètement vulnérable pour son assaut.

— Arrrrh… Oouups.

Je l’ai senti passer, il est en butée dans les abysses de mon rectum. La douleur est bien présente, mais plus tolérable… petite pause. Je ressens cette tension interne excessive, déplaisante.

Cette position me rappelle ma condition très passive, je suis à la merci de ses coups de dard, possédée et soumise, cuisses écartelées par ses bras musclés, sous le regard du soleil. Je sens la vigoureuse queue se retirer, puis revenir et entamer un coït puissant, mais sensuel comme un slow… Il joue de son bassin, changeant l’axe de sa pénétration à chaque mouvement, c’est même presque agréable.

Le rythme s’intensifie, une intense chaleur voluptueuse m’envahit. Je couine sous chaque coup de boutoir, des sensations ignorées et contre nature me séduisent, mon corps et mon esprit s’abandonnent. Plus que l’acte sodomite, j’aime être possédée !

La translation de sa verge est puissante, la table de jardin en acier grince, bouge, à chacun de ses coups de queue. Les mains cramponnées sur le bord de la table, je subis la puissance de cette copulation. Son monstre glisse en moi sans retenue écartelant ma chair de sa large hampe. Les va-et-vient de son piston s’enchaînent, le rythme de cette pénétration ne me laisse pas indifférent, oui… indifférente.

Elle est bonne cette queue, même si j’ai encore un peu de mal à l’accueillir sereinement. Les assauts de ce mâle alpha me stimulent, son énorme cône me baise à un rythme soutenu. La ...