1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (12)


    Datte: 19/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... au bout ta femme... ça t’apprendra à niquer celle des autres !
    
    Nous le laissâmes à sa colère, ses vociférations et ses coups de Klaxon et essayâmes d’entrer. Fermé.
    
    — Par derrière, le vasistas des chiottes peut-être.
    
    Je suivis Jean-Lou.
    
    Il fallut faire un peu d’escalade, mais nous entrâmes et nous n’eûmes qu’à suivre le son de l’orgie pour trouver notre chemin.
    
    Quatre femmes étaient sur des banquettes, avec chacune un mec par derrière et un mec par-devant, sauf une qui n’avait qu’un manche à sa disposition. Elles étaient en levrette.
    
    Une cinquième était sur une table, petit coussin sous la tête, le cul au bord, jambes écartées qu’un mec prenait par en dessous en rabattant ses énormes paluches sur les cuisses pour trouver appui. A sa peau mate, sa corpulence musclée et ses tatouages, que je devinais malgré la peau sombre, je sus que c’était le patron. La femme, qu’il pinait avec ardeur, et dont les seins roulaient, était évidemment la mienne.
    
    La plus jeune avec deux types était sa nièce, ce dont le couleur de peau pouvait faire douter. Il aurait pu être son père. La trentenaire, était à coup sûr la femme de Hyacinthe et les deux autres filles les femmes du patron.
    
    Ça sentait le rut.
    
    Une télé crachait les cris d’une blonde, enregistrée sur la cassette qui défilait dans le magnétoscope, qui se faisait piner par deux mecs poilus. C’était un film intitulé, je crois, "Les femmes des autres".
    
    Je m’approchai et quand je fus à sa hauteur, il déclara ...
    ... :
    
    — C’est qui celui-là ?
    
    — C’est mon mari. Ca va mon chou ?
    
    — T’es rentré par où ? reprit le mec qui ne s’interrompit pas.
    
    — Par derrière.
    
    — Moi aussi tout à l’heure... ah ah ah ! Et elle aime ça la bougresse ! Tiens, regarde ce que je lui mets dans la chatte avant de la reprendre dans le cul.
    
    Il sortit sa grosse pine, grosse vraiment, toute luisante, de la chatte de ma femme, avec un énorme gland. Une queue bien raide dans sa courbure. Puis il la replongea sans se presser avec ce son si caractéristique que fait la bite quand elle rentre dans une chatte bien mouillée. Ma femme gémit de plaisir.
    
    — Putain serrée... ben mon salaud de cocu... moi si j’avais une femme comme cela, je la laisserais pas partir avec le premier camionneur venu.
    
    A ce moment, Jean-Lou parut.
    
    — Ah ! c’est toi qui l’as amenée... Jean... jean...
    
    — Jean-Lou !
    
    — Ah ouais... C’est ça, Jean-Lou... passe tellement de monde ici. Je me disais bien qu’il avait pas pu trouver le chemin tout seul. Y a longtemps que t’es pas venu toi. Tu sais que j’aime pas qu’on entre comme ça chez moi sans me demander.
    
    — Je sais patron, mais c’est un camarade. Il cherche sa femme depuis deux jours. Fais excuse !
    
    — Elle est entre de bonnes mains sa femme... ahahah... Allez, je pardonne... mais elle reste avec moi cette nuit avec son cocu... vous me devez bien ça... Allez, joignez-vous à nous. Profitez-en !
    
    Pendant cet échange, j’avais eu tout le loisir de le dévisager, si tant est que le pubis ...
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