Histoires de cocus (extra)ordinaires (12)
Datte: 19/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... tienne lieu de visage. Il était gros, mais musclé encore, terriblement. Ses poils étaient tous blancs, plutôt clairsemés sur le torse, mais très touffus sur le nombril et, de là, jusqu’au manche.
— Non, merci, je joue pas, je perds tout le temps, dit Jean-Lou.
— Jouer ? Perdre ? Tu parles de quoi, demandai-je ?
— J’ai participé trois ou quatre fois à ces soirées... Le moins endurant paie sa tournée et les petits-déj’ du lendemain. Et je suis rarement le gagnant.
— Ce soir, c’est ma tournée. La femme de ton pote, c’est un cadeau. Je renvoie l’ascenseur. C’est pour mes burnes ce soir. Faites-vous plaisir.
Le patron était aux anges avec ma femme et cela lui donnait le cœur généreux, disposé à délier ses bourses.
— Alors si c’est comme ça...
Puis se tournant vers moi, Jean-Lou ajouta :
— Viens avec... je te recommande sa femme. Elle a une bouche à jamais être enceinte.
Et il commença à se déshabiller.
— Minute ! dit la femme de Hyacinthe qui avait tout suivi. Toi, tu viens avec moi. J’ai un compte à régler avec mon mari d’abord !
Le mec qui était en train de se faire caresser la bite entre ses énormes seins nous suivit.
Elle était grosse, tout en rondeur, généreuse, opulente et terriblement sexy, je dois le reconnaitre malgré ma nette préférence pour les nanas fines à gros seins comme ma femme. Mais celle-ci dégageait une évidente sensualité.
Nous quittâmes la salle où l’orgie continua sans nous. Elle ouvrit la porte et nous traversâmes le ...
... parking.
— Dis donc, m’apostropha-t-elle, tu te plains que mon mari parte avec ta femme, mais t’as oublié de me dire que tu étais consentant.
— Ben, non, pas pour qu’il parte avec sans rien dire.
— Non, mais ça t’a pas choqué qu’il la saute à ce qu’on raconte.
Je ne savais pas quoi dire.
— Moi, je vais lui apprendre à sauter la mienne. Dit alors le gras qui nous accompagnait.
Il se présenta alors comme un collègue de Hyacinthe qui avait été trompé aussi, mais involontairement. Lorsque Martine, la femme de Hyacinthe, l’avait appelé, suite à mon coup de fil, pour lui demander de l’aide, il lui avait avoué alors son infortune. Elle avait redoublé de colère, comprenant alors que son mari sautait sur tout ce qui bougeait. Hubert, c’était le nom du gars, était venu avec Martine, bien décidé à se venger tous les deux. Ils avaient piégé Hyacinthe à son arrivée, l’avait lié à son volant et lui avait confisqué ses clefs. Depuis, il était bloqué dans son camion.
Arrivé devant lui, malgré la nuit noire, ses yeux sans doute habitués à l’obscurité, il perçut notre présence et se mit à nous insulter et nous menacer.
Hubert approcha sa camionnette (il avait laissé les clefs dessus) et la mit face au camion. Il alluma les phares. Nous étions, tous les trois, à poil, au fond d’un parking, en plein éclairage.
— Prenez-moi devant lui.
Je m’appuyai contre la calandre de la camionnette et elle se baissa pour avaler ma bite. L’autre gars l’enfila par-derrière. Hyacinthe ...