Histoires de cocus (extra)ordinaires (12)
Datte: 19/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Il était entre deux et trois heures du matin.
— Oh oui, encore, encore, fourre-moi !
— T’aimes ma grosse queue, hein, tu la sens bien là ?
— Hmmmm... oui... encore, encore... oooooooo...
Après avoir pris la lampe torche pour éclairer la scène, j’intervins.
— Putain, mais qu’est-ce que vous faites vous deux ?
Hyacinthe était sur ma femme, en missionnaire. Elle avait plié ses jambes autour des fesses musclées du gars et accrochait ses mains à ses omoplates.
— On joue aux legos... On s’emboîte.
— Mais...
— Mais quoi ?
Je ne savais pas quoi faire. Curieusement, je me sentais plus cocu que lorsqu’ils l’avaient tous baisée devant moi. Là, je n’avais pas donné mon accord. Ils m’avaient pris par surprise. Dans le fond, cela ne changeait rien, il y avait un autre gars sur ma femme et elle aimait ça, mais cela s’était produit sans mon consentement. Je ne sus quoi dire. J’étais assez dépité.
— Ben... euh... vous avez vu l’heure ?
— Qu’est-ce tu veux ? Y a pas d’heure pour les braves ! Elle m’obsède ta femme. J’en pouvais plus de bander. Et puis, elle va pas rater l’occasion... c’est pas toutes les nuits qu’elle a droit à une queue pareille.
Il commençait à me gonfler le prétentieux... même s’il avait objectivement quelques motifs de fierté en double décimètre.
— Vous auriez pu faire ça ailleurs.
— T’inquiète... c’est ce qu’on va faire. Là, t’es en train de me gâcher mon coup.
Il se mit à genoux pour sortir de la tente.
— Tu viens ...
... chéri... On va dans ma cabine. On sera plus à l’étroit, mais pénard.
Elle se leva.
— Tu y vas ?
— Ben oui mon gros nounours... j’étais prête à jouir. Tu m’as stoppée net.
— Désolé, vraiment !
— Tu viens avec nous ?
— Non, non vous avez très bien commencé sans moi !
— Oh, t’es fâché ? On t’a réveillé !
— C’est bon, c’est bon.
— Vraiment, tu viens pas ?
— Non je préfère dormir !
— Bon... comme tu veux.
Je les entendis s’éloigner. Hyacinthe dit.
— Il préfère dormir que de faire l’amour avec toi ! Il est cinglé !
— Peuh... quand t’auras vidé tes couilles, tu roupilleras aussi. Vous êtes tous les mêmes.
— Ouais... ben allons voir d’abord comment tu me les vides !
Et ils continuèrent leur chemin en riant jusqu’à ce que je ne les entende plus. Je m’endormis au bout d’un long moment, le temps de ruminer mon amertume. J’étais un gros connard dans le fond. Si on en était là, c’est parce que je n’avais pas résisté au plaisir de voir une bonne scène de baise avec une actrice de premier plan... ma femme.
Il faisait déjà chaud à 8 h00 lorsque je sortis des bras de Morphée. La tente était vide. Brigitte était déjà levée, mais je fus marqué par le silence. Me réveillant tout à fait, je constatai qu’elle avait pris son sac à dos. Ne restait que le matelas pneumatique, sur lequel il y avait un mot : "Je pars en éclaireuse avec Hyacinthe. Il m’a dit que Bertrand et Alain nous rattraperaient. A ce soir, mon grand loup".
Là, elle passait la ...