Voisinage (2) - Histoires de Sexe

Voisinage (2)

... entièrement sa verge, pour la réintroduire aussi vite en poussant toujours plus loin et plus fort. Ses coups de reins étaient puissants, ordonnés, précis, sa raideur turgescente me remplissait, ses bourses cognaient mes fesses. J’étais au paradis.

Ma jouissance et mon plaisir se manifestaient par des cris, des halètements, j’allais au-devant de ses coups de boutoir, j’ondulais du bassin pour mieux le sentir vivre en moi. Ma cyprine coulait sur mes cuisses, je prenais un immense plaisir à être sodomisée aussi profondément.

Audrey excitait son mari par des propos libérés, il traduisait par ses coups tout le bienfait des propos de sa femme.

Elle s’allongea sur le dos et glissa vers moi pour me présenter son intimité.

A quatre pattes au-dessus d’elle, nos langues s’activèrent sur les vulves de chacune. Jouant, léchant, mordillant mon clitoris pendant que son homme me prenait les fesses. Quelle sublime et divine sensation que d’être prise, léchée et fouillée en même temps. Sa langue, ses doigts me fouillèrent outrageusement ma fente qui sous ses assauts linguaux se mit à fondre et à couler.

Je suis aux anges, mon corps frissonne de partout, je gémis, je geins, je halète, je suffoque, je me tortille de plaisir, mon bassin ondule frénétiquement, emprisonnant de plus belle cette queue qui m’assiège.

Rendant la pareille à celle qui me donnait tant d’émotions, je partis à la découverte de cette sculpturale femme avec ma langue, mes doigts, ma bouche.

De ma ...

... bouche, je laissais couler un filet de salive tiède dans le sillon de sa fente bouillante. Audrey est hyper-sensible, elle souleva ses fesses vers moi en soupirant.

Mon index et bientôt mon majeur la sondent allègrement. Mes doigts visqueux de cyprine s’acharnent sur son bourgeon et dans ses cuisses. Je la baise de mes doigts. Audrey se crispe, se tend à plusieurs reprises. Sa jouissance est imminente.

Devant un tel acharnement féminin, Pierre redouble d’efforts pour ne pas jouir dans mes fesses. Il veut profiter.

Prise d’une frénésie sans mesure, je fouille Audrey, mes doigts vont et viennent sur et dans son sillon, excitant son clitoris au maximum, il pointe fièrement. Elle est à l’orée de la jouissance, le point de non-retour est là, tout proche.

J’accentue mes caresses par des attouchements furtifs, effleurant juste pour la faire frémir son intimité. Fouillée et masturbée en même temps, et ne pouvant plus se retenir, Audrey lâcha un jet de cyprine qui vient inonder ma bouche et mon cou.

— Je JOUISSSSSS !!!! cria-t-elle à en perdre haleine.

— Pierre Ouiiiiii....... Je PARS... Lançais-je.

Dans un dernier élan de vigueur, Pierre se logea au fond de mes entrailles et m’inonda de plusieurs jets longs et chauds.

Je suis anéantie, foudroyée par l’orgasme qui vient de me terrasser.

Pierre se retira presque immédiatement et présenta sa verge à Audrey qui l’enfourna goulûment, léchant, suçotant chaque partie de sa hampe, de sa base jusqu’au gland.

Ma ...