Voisinage (2) - Histoires de Sexe

Voisinage (2)

Quinze jours se sont écoulés depuis mon premier trio avec Pierre et son ami. Je le croise de temps à autre sur le palier, un bonjour, un échange de politesse, mais rien de plus. Pierre ne laisse rien transparaître de notre relation. Je reçois quelques messages pendant la journée, éventuellement le soir, mais rien de physique pour le moment.

Il me frustre sexuellement, pour mieux me posséder et m’utiliser quand il en aura décidé.

Quant à son ami, aucune nouvelle depuis. Je sais qu’ils se rencontrent régulièrement, mais je n’en sais pas plus. Je ne connais rien de lui. Pourtant j’aimerais le revoir, il me laisse un souvenir intarissable.

Il est 14h00, quand je reçois enfin un texto de Pierre.

— Chez moi dans 15 minutes. Tu te devras d’être sexy.

A la réception de ce court message, je me précipite dans ma chambre et m’affuble de ma plus belle lingerie.

C’est les jambes gainées de bas, attachés à des porte-jarretelles, portant une robe courte ultra-sexy, chaussée de mes escarpins, arborant un maquillage léger, que je me présente devant sa porte.

Pierre ouvrit la porte, il arbore un pantalon en toile de lin crème dont je devine sa nudité dessous. Son torse, nu, dévoile ses muscles saillants et sa beauté.

Ma tenue provocante, le parfum à la vanille qui a le don de le rendre fou d’excitation, ma posture volontairement provocante et incendiaire le laisse pantois.

— Entre vite. Me dit-il.

A peine ai-je franchi le seuil de la porte, que ses mains se ...

... posent sur mes hanches, les faisant osciller lascivement de droite à gauche.

Pierre me prit la bouche dans un passionnant baiser, nos lèvres s’unirent et nous commençâmes à nous diriger vers l’antre du plaisir.

Nos échanges linguaux furent divinement érotiques, parcourant mes lèvres du bout de sa langue, je me dandinais de plaisir, sentant la vague prendre le creux de mes reins. Ses mains parcouraient la finesse de mon corps par-dessus le léger tissu de ma robe.

Ses caresses étaient maîtrisées, lentes, divinement dirigées, me palpant les seins, écartant mes lobes fessiers, Pierre m’explore outrageusement pour mon plus grand bonheur. Ses puissantes mains qui parcourent mon corps me procurent des frissons.

J’attrape son index et c’est avec un regard profond que je le glisse dans ma bouche chaude et humide, faisant ressortir son doigt pour mieux le reprendre. Faisant tourner ma langue sur son doigt, suçotant par intermittence son extrémité, il ne pouvait y avoir aucune ambiguïté sur mon intention de lui procurer du plaisir.

Pierre interrompt brusquement notre étreinte brûlante.

— Caresse-toi pour moi. Ordonna-t-il.

Obéissante, je m’assois sur le bureau, un pied sur une chaise, les cuisses légèrement écartées. Une main me sert d’appui, pendant que mon autre main caresse mon clitoris, mes lèvres vaginales. Mes doigts glissent sur ma fente humide, écartant mes lèvres gonflées de désir.

Tout en regardant Pierre, je lèche mon doigt englué de cyprine, je me chauffe, ...