Voisinage (2) - Histoires de Sexe

Voisinage (2)

... mes joues ont pris de la couleur, ma gorge enfle de désir, ma bouche dégouline d’envie. Mes mains entre mes cuisses, je me fais gémir, je cherche mon souffle.

Mon sexe perle son nectar, je récolte sur mes doigts le fruit de mes attouchements. Mon ventre me brûle, j’ai envie au plus profond de moi d’être prise. Mes seins sont durs et me font atrocement mal, mes pointes tendent le tissu de ma robe.

Pierre se masturbe pendant que j’ôte de manière indécente ma robe. Je suis à présent nue devant lui. Il craque et me saute dessus.

— Attends. Lui dis-je. Laisse-moi faire.

J’installe Pierre sur une chaise, tout en le chevauchant, j’écarte mes cuisses et doucement je descends. Je laisse le gland s’initier dans mon antre, je le prends jusqu’à la garde, son sexe est de plus en plus gros en moi, de plus en plus dur et épais, je suis remplie de son vît.

Je m’empale lentement. Je remonte un peu pour mieux redescendre aussitôt. Je suis chargée de soupirs, de râle. Mon bas-ventre est en feu, je suis comblée de plaisir.

Mes mouvements sont lents, je maîtrise son plaisir, mon plaisir. Nos souffles sont courts et bruyants. Il halète, je suffoque par la déferlante qui me submerge.

Il possède toute ma matrice, je coule inexorablement sur son envahissante hampe, la recouvrant de ma cyprine.

Sa profonde excitation le fait agir, il empoigne mes fesses de ses mains, et m’inflige des va-et-vient sur sa verge qui dévore mon intimité.

Je ne retiens plus mes cris, la pièce est ...

... remplie de jouissance, des joutes de notre plaisir. C’est les yeux mi-clos et la bouche ouverte que je savoure cette profonde pénétration.

Je suis ivre sous ses coups de boutoir, ils sont rudes, profonds, intenses, à ce moment, je suis sa chose et j’y prends un plaisir certain. Il peut tout me faire, tout me demander, la jouissance, l’ivresse de la volupté du plaisir me fait perdre toute notion, tout moyen et tout repère.

Je crie mon plaisir, je suis folle d’excitation.

— ENCORE..... Pierre... ENCORE, j’en veux plus. Déchire-moi. Prends-moi FORT !!.

Installée en levrette, Pierre redoubla d’efforts et me prit vigoureusement. La vue de ma croupe ainsi offerte conjuguée à mes obscénités, le fit vriller et perdre toute sensibilité.

— Tu es une chienne Laure... OH PUTAIN..... C’EST BON...... Je vais te déchirer. Vas-y ma salope...... Humm... vas-y salope... OUIIIIIIII tortille bien ton cul. Humm c’est trop bon.

— Ouiiiii... Pierre... Déchire-moi PUTAIN... Je veux... Oh Ouiii... me faire... Humm défoncer par ta queue... Oui comme ça..... OUIIIIIIIIIII...

A ce moment précis, Audrey la femme de Pierre entra dans la chambre, surprise par notre accouplement bestial.

— Alors !!! Salope !!! Tu te tapes mon mec !!!!! lança-t-elle.

Devant l’évidence de la situation, il m’était impossible de nier et pire de fuir.

Je m’attendais à une sorte de crise de nerfs, qu’elle ne se transforme en furie, qu’elle entre dans une folle colère, qu’elle me jette dehors. Ce fut ...