Voisinage (2) - Histoires de Sexe

Voisinage (2)

... tout le contraire qui se produisit.

— Bonsoir chéri, je vois que tu t’amuses. Dit-elle d’une voix suave.

— Bonsoir mon amour, oui Laure est divine, elle est faite pour le cul. Retorqua Pierre.

Et comme le plus naturellement du monde, tout en me besognant, il nous présenta l’une à l’autre.

— Audrey, je te présente Laure, Laure je te présente Audrey ma femme.

Je ne savais plus quoi penser, faire. J’étais décontenancée par la situation, perdue entre honte et interrogation.

Toujours en levrette, intimité et croupe offerte, j’osais à peine regarder Audrey qui maintenant ôtait ses habits. Audrey est une grande rousse flamboyante, avec une jolie poitrine ferme avec un galbe parfait, des fesses rebondies, une chute de reins vertigineuse et un ventre plat. Audrey est incontestablement une très belle femme.

Afin de dissiper tout malaise, elle vint s’agenouiller devant moi, vêtue uniquement de ses bas tenus par de très fines jarretières en dentelle. Elle prit mes joues entre ses mains et m’embrassa de la plus sensuelle des façons.

Nos lèvres s’unirent et nos langues se trouvèrent dans un langoureux baiser. Audrey attrapa mes seins et se mit à jouer avec mes pointes qui ne tardèrent pas à se dresser d’envie à nouveau.

— Humm... tu embrasses divinement, j’espère que tu lèches aussi bien. Dit-elle.

— Si tu m’en laisses l’occasion, je te ferai crier de plaisir. Répondais-je.

Ni l’une ni l’autre étions indifférente à notre échange. Audrey laissa paraître ...

... son émoi, sa petite fleur laissa perler quelques gouttes de son nectar.

— Amusons-nous tous ensemble, veux-tu ? demanda Audrey.

— Oui, j’en meurs d’envie. Dis-je.

Audrey posa ma tête à même le sol, toujours agenouillée devant moi, ses mains parcoururent mon dos, mes reins pour atteindre mes fesses. Appelant son mari de la plus belle et douce voix.

— Oh mon chéri, viens la baiser par-derrière. Je veux que tu défonces son petit cul avec ta queue. Dit-elle à Pierre.

— Et toi, dis-lui à mon homme ce que tu veux. Dis-lui, dis-nous que tu es à nous maintenant. Me lança-t-elle.

— Oh oui, Pierre, viens. Encule-moi, je veux sentir ta bite me transpercer. Je suis à toi, je suis à vous. Viens.......

Audrey se plaça derrière moi et de la pointe de sa langue, me lécha le pourtour de mon œillet et darda pour me pénétrer.

Devant ce spectacle, Pierre se masturbait, en attendant de me pourfendre mon conduit.

Elle délaissa mon œillet au profit de Pierre qui se présenta enfin devant l’entrée. Il lubrifia son sexe en me pénétrant vaginalement d’une poussée vigoureuse, faisant au passage quelques va-et-vient qui m’arrachèrent des soupirs de plaisir.

Il quitta mon vagin, posa l’extrémité de son sexe sur mon œillet et poussa. C’est les yeux fermés, le front plissé et la bouche ouverte que son gland força le passage. Il me pénétra d’une seule poussée, m’arrachant un long gémissement.

Sans me laisser le moindre répit, il me sodomisa en profondeur, ressortant quasi ...