1. Aventure de confinement


    Datte: 13/05/2022, Catégories: f, h, jeunes, voisins, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Masturbation Auteur: Pandoreoflille, Source: Revebebe

    ... journée dans sa tenue décontractée habituelle, le jogging avait rapidement rejoint le panier de linge et ne lui restaient plus qu’un t-shirt et une culotte légère quand elle ferma les yeux pour apprécier pleinement la satisfaction du travail accompli et de cet espace retrouvé.
    
    Les fenêtres ouvertes laissaient passer une légère brise des plus agréables dans cet étouffement général. Dans la langueur de ce repos, les yeux toujours clos, elle n’arrêta pas sa main lorsque celle-ci, nonchalamment, parcourut sa poitrine par-dessus son t-shirt qu’une légère transpiration avait rendu humide. Elle montait, descendait, de son cou à son nombril, effleurant, caressant tout sur son passage. Depuis combien de temps ne s’était-elle plus occupée d’elle-même, ne s’était-elle autorisé son propre plaisir ? Depuis combien de temps n’en avait-elle pris avec autrui ?
    
    Sébastien, son sourire, ses yeux… C’était juste après la rentrée, en première année. La semaine d’intégration avait été intense, et sacrément festive.
    
    Elle l’avait tout de suite remarqué. Ce n’était pas le plus balèze, ce n’était pas le plus frimeur, mais il avait eu un charme fou lorsqu’il l’avait sortie d’une situation périlleuse (« Allez Sophie, montre-nous tes fesses, allez Sophie, montre nous ton… ») en parfait gentleman. Elle lui avait rendu la pareille et sauvé la mise en lui trouvant un prétexte pour esquiver un défi qui coûta un renvoi à celui qui le remplaça pour le faire.
    
    Ils avaient pris la fuite dans les ...
    ... couloirs du lycée, et c’est dans un recoin d’escalier qu’il l’avait embrassée, dans un éclat de rire qui s’était changé en une tension sensuelle lorsqu’elle avait rivé ses yeux dans les siens. Le baiser avait duré, leurs langues s’étaient jointes de plus en plus langoureusement, et lorsque les mains de Sébastien s’étaient aventurées sous son jean, sur ses fesses, effleurant délicatement la couture extérieure de son tanga, elle l’avait laissé faire. La sonnerie avait retenti pour les lycéens, et elle n’avait que peu d’importance pour les prépas, ils avaient du temps.
    
    Elle lui avait passé les mains sous le t-shirt, lui avait caressé le dos et le torse avant de descendre, plus bas, plus bas, et de s’attarder sur le haut de son pantalon, n’y aventurant que le bout des doigts. Elle le sentait, retenir sa respiration, lui laisser place, et c’est par provocation qu’elle lui posa l’index sur les lèvres en lui intimant l’ordre tacite de se taire pour descendre plus avant et le déboutonner.
    
    Elle avait bien mesuré son effet, car le boxer qu’elle ne tardait pas à baisser ne cachait rien de son désir, et lorsqu’elle le prit en bouche, là, dans ce couloir, il était déjà à elle.
    
    Sophie s’était alanguie, sa culotte avait roulé sur l’une de ses chevilles, et son autre jambe était relevée sur l’accoudoir de son fauteuil. Elle aurait juré que la température n’avait cessé d’augmenter dans l’appartement. Sa main avait étendu le trajet de ses allers-retours pour s’attarder de plus en plus bas ...
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