1. Anne-Marie


    Datte: 10/05/2022, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... de son nez. Des gémissements m’invitent à poursuivre la masturbation qui semble enchanter Anne-Marie. Elle approuve par une série de « oui, oui, oui… ».
    
    Une crème épaisse commence à sourdre du puits obscur, il faut me montrer plus entreprenant, c’est donc avec la langue que je continue la branlette du clitoris. La réaction ne se fait pas attendre. Ça devient physique ! Je dois m’accrocher solidement aux hanches de la dame pour ne pas me faire désarçonner. Elle saute, rue et même hennit. Craignant de nouveaux débordements, je la modère :
    
    — Doucement, Nanou. Calme-toi. Apprends-toi à goûter ton plaisir. Ne te laisse pas déborder.
    — Oh, tu m’as appelée Nanou ! Oui, Lou, je me calme.
    
    Elle se rallonge, se détend. Son regard sur moi est soumis.
    
    Je caresse son pubis, jouant dans sa toison. Insensiblement, mon majeur progresse dans son entrejambe et, avec douceur, plonge dans le vagin, il en ramène une mouille grasse, huileuse, parfaite pour titiller le clitoris toujours dressé. Je tourne autour, frôle le bouton, retourne, pince, titille…
    
    Anne-Marie se maîtrise. Elle soupire, tremble, sursaute, gémit doucement.
    
    Je dépose un baiser sur ses lèvres. Elle ferme les yeux :
    
    — C’est bien, ma grande. Goûte, goûte ton plaisir. Laisse-le grandir, mais garde le contrôle…
    
    Délaissant momentanément le clitoris, je plonge mon majeur dans le vagin. Après un léger sursaut, elle garde son calme. Je vais et viens lentement, pour qu’elle prenne bien le temps d’apprécier ce ...
    ... nouveau contact, puis je retourne ma main pour venir frotter la surface antérieure du vagin de la pulpe du doigt, là où la muqueuse prend l’aspect du velours côtelé. Un râle de plaisir accompagne ma caresse. J’introduis un second doigt dans un mouvement régulier de piston. Instinctivement, prémisse d’un orgasme profond, la dame active convulsivement ses muscles internes, stimulant éperdument le contact avec mes doigts. De la paume de la main, j’excite le clitoris. Je presse, je glisse, je masse, je tournoie, je virevolte :
    
    — Va, ma Nanou, laisse monter le plaisir. Laisse-toi envahir, mais regarde-moi. Ne me lâche pas des yeux.
    
    Elle plante ses yeux dans les miens. J’y lis les vagues de plaisir qui déferlent jusqu’à l’abandon final, mais il reste ce lien qui la retient et l’empêche de s’évanouir. Elle geint sans interruption, est parcourue de frissons de plus en plus violents qui la soulèvent. Je l’attrape et la serre jusqu’au spasme final qui la laisse toute molle entre mes bras.
    
    Je la relève en position assise et la berce, jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux. Elle me sourit, m’embrasse et pose sa tête sur mon épaule. Je continue de la bercer. Elle murmure :
    
    — Quel bonheur ! C’est incroyable ! Je suis heureuse… totalement heureuse, pour la première fois de ma vie… C’est toi qui m’as révélée… je te dois tout…
    
    Je vais réagir à ces paroles. Elle me ferme la bouche de sa main.
    
    — Non, laisse-moi dire… Que tu le veuilles ou non, maintenant je suis ta chose… tu peux faire ...
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