1. Anne-Marie


    Datte: 10/05/2022, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... est fait. Rallonge-toi.
    
    Je démarre du pied droit que je pétris longuement, puis remonte doucement, cheville, mollet, pli poplité, cuisse. J’arrive sur la fesse bien rebondie que je malaxe lentement, mais profondément. Je perçois que madame apprécie particulièrement.
    
    Naturellement, je ne peux pas lui masser le pied gauche, toujours bandé, mais la jambe subit le même traitement que la droite. Anne-Marie reprend son histoire :
    
    — J’arrive pas à en vouloir à ma mère… elle a brisé ma vie… mais elle m’aimait tant… trop !… J’ai appris par la suite qu’à mon insu, elle avait éloigné deux hommes qui me demandaient en mariage…(Long silence.) Pour le sexe, je n’ai jamais connu que la masturbation… Et encore, il fallait que je me cache : « c’était sale… ». Depuis son décès, je me suis défoulée… Oh, je n’ai pas trouvé d’hommes, j’en ai pas cherché… Non, je me caresse souvent, plusieurs fois par jour… je peux pas m’empêcher, c’est plus fort que moi… T’as vu les concombres que j’ai achetés ce matin ?(Elle rit.) Sais-tu que tu es le premier homme de ma vie qui me touche et qui me voit nue ?
    
    Irrésistiblement, la petite Charlotte me vient à l’esprit. Je me mets à chanter :
    
    Pendant que je chante, j’empoigne des deux mains ses fesses que je pétris profondément. Surprise, estomaquée même, elle se soulève et se tord pour me regarder puis, devant mon sérieux apparent, elle éclate de rire et se rallonge en écartant les jambes.
    
    Mouvement inconscient ou volontaire ? Je ne sais, mais ...
    ... ce n’est pas le moment de tout gâcher par trop de précipitation. Je caresse alors l’intérieur de ses cuisses, ne faisant que frôler ses lèvres intimes. Elle réagit en se tortillant lascivement et en gémissant doucement.
    
    J’hésite à aller plus loin, pourtant tout m’indique qu’elle est prête. Alors, je me lance :
    
    — J’ai fait tout ce que je pouvais pour te soulager. J’ai maintenant massé tout le côté pile. Il reste le côté face, mais là, tu t’en rends bien compte, ce ne sera plus thérapeutique, mais uniquement pour le plaisir. Je n’insiste pas, je te laisse le choix. Je vais me retourner. Si tu veux arrêter, tu descends et tu te rhabilles ; si tu veux continuer, tu te mets sur le dos et tu m’appelles.
    
    Oui, je sais ! C’est un peu hypocrite après l’état d’excitation dans lequel je l’ai mise, mais je veux qu’elle s’implique ouvertement dans la décision. Bien entendu, il n’y a pas de suspense. Au bout de quelques secondes, elle m’appelle :
    
    — Je suis prête, tu peux te retourner.
    
    Je suis abasourdi par la suite d’événements qui m’ont conduit dans cette situation. Là, devant moi, Lou, veuf de soixante-treize ans, une femme m’offre sa nudité pour que je lui donne du plaisir. Elle me fixe, suivant attentivement la direction de mon regard sur son corps. Ses seins, presque sans relief, sont très écartés, en forme de cônes presque parfaits. À la pointe, les mamelons bruns sont étroits, avec un long téton turgescent. Mes yeux parcourent son petit ventre rebondi qui est souligné ...
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