1. Anne-Marie


    Datte: 10/05/2022, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... petites fleurs blanches. C’est très frais et elle est magnifique. Quand nous entrons dans la salle de restaurant, il y a un brouhaha d’étonnement et même quelques applaudissements quand elle est reconnue. Elle le prend avec beaucoup d’humour et, telle une star, envoie des baisers à l’assistance.
    
    À la fin du repas, Anne-Marie nous presse d’aller faire un tour :
    
    — Il fait trop beau pour aller s’enfermer.
    
    Je suis d’accord avec elle, mais j’ai pressenti qu’Arlette aimerait bien renouveler la sieste crapuleuse d’hier. Je joue donc au type fatigué par sa sortie du matin et déclare que je vais m’allonger un moment. Anne-Marie nous regarde avec un petit sourire.
    
    — C’est bon, j’ai compris, déclare-t-elle. Je vais essayer de débaucher Gérard, sinon j’irai toute seule !
    
    Bien sûr, je suis à peine rentré dans mon studio, qu’Arlette vient me rejoindre, toute pimpante dans sa robe. Moi, je suis déjà nu.
    
    — Tu sais qu’j’ai pas mis de culotte ?
    
    Devant mon air interrogateur, plus ou moins ébahi :
    
    — Même pour le repas. Ça m’a fait tout drôle, j’avais l’impression que tout le monde le savait. C’est vachement excitant.
    
    La robe s’ouvre par le devant, je la déboutonne et la fais glisser au sol. Le soutien-gorge suit le même chemin et nous nous jetons sur le lit. Nos jeux durent depuis un bon quart d’heure quand on vient frapper à la porte :
    
    — Monsieur Vilneau… Lou… vous êtes là ? Madame Arlette n’est pas chez elle. Madame Anne-Marie a eu un accident, elle vous ...
    ... réclame.
    — J’arrive.
    
    Je m’habille en vitesse, demande à Arlette d’attendre un peu avant de nous rejoindre, et sors. C’est Gérard, le petit bonhomme du palier, qui est là.
    
    — J’étais avec madame Anne-Marie et on arrivait au bois quand elle s’est tordu la cheville sur une souche. Elle a mal. Elle pleure. Elle a demandé après vous et madame Arlette.
    
    En descendant, il m’explique qu’il a aidé Anne-Marie à rentrer à cloche-pied, mais qu’elle s’est écroulée sur une chaise en arrivant et qu’elle ne peut plus bouger. Nous arrivons sur le perron arrière du château où je découvre Anne-Marie qui tient en l’air sa jambe gauche avec ses deux mains. Elle grimace de douleur, cependant elle me sourit en me voyant venir.
    
    Je m’agenouille devant elle et approche mes mains de son pied. Elle a un mouvement de recul.
    
    — T’inquiète pas et détends-toi, je vais faire très doucement. Tu n’auras pas mal.
    
    Mon ton est autoritaire, elle me laisse faire. J’entoure la cheville de mes deux mains, sans la toucher. La chaleur devient intense sous mes paumes. Au bout de trois ou quatre minutes, la chaleur disparaît. Normalement, c’est fini.
    
    Avec précaution, je prends le pied et le fais tourner prudemment dans tous les sens. Je remarque la finesse élégante de la jambe et de la cheville, ainsi que la délicatesse du petit pied d’Anne-Marie qui ne tressaille même pas. Je lui demande de se lever, puis de marcher lentement : tout se passe bien.
    
    Gérard est sidéré, ainsi qu’Arlette qui est arrivée ...
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