1. Anne-Marie


    Datte: 10/05/2022, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... lui fais confiance. Je suis sûr qu’elle serait capable de déplacer des montagnes, s’il le fallait. Je pars au village d’un pas confiant.
    
    — oooOooo —
    
    Tout est prêt, un matelas de fauteuil relax est étalé sur la table, recouvert d’une grande serviette de bain, l’huile aromatisée à disposition dans un flacon. J’attends ces dames.
    
    Quand elles arrivent, je fais asseoir Anne-Marie, de travers, sur une chaise, de façon à avoir accès à son dos. Arlette va s’allonger sur le lit, appuyée sur un coude, telle madame Récamier sur sa méridienne. Je m’assois à côté d’Anne-Marie :
    
    — Je suppose qu’Arlette t’a expliqué que je n’ai jamais fait ça. Je ne suis pas sûr que ça marche, je suis même convaincu du contraire. Mais ça ne peut pas te faire du mal.
    — Oui, oui. Vas-y, me répond-elle.
    
    Je lis une telle dévotion dans son regard que j’en suis retourné.
    
    Je place une main dans son dos, au niveau des lombaires, l’autre, symétriquement devant, à la même hauteur, frôlant la ceinture de sa jupe, sans la toucher. J’attends… Rien… Je hausse légèrement mes mains vers les dorsales, une vague chaleur me fait progresser jusqu’au milieu du dos où la chaleur semble devenir plus intense.
    
    — Oh, c’est chaud, chuchote-t-elle.
    
    Oui, mais ce n’est pas la même chaleur que celle que je ressens habituellement. Il s’agit simplement de la proximité de son corps, de sa peau, que seule une mince épaisseur de tissu sépare de ma main. Cependant, je ne la détrompe pas, l’autosuggestion fait ...
    ... parfois des miracles !
    
    Très lentement, je balaye sa colonne de bas en haut, puis en redescendant. Je l’entends murmurer :
    
    — Merci, merci, c’est merveilleux… Merci !
    
    Elle a les yeux fermés et de grosses larmes roulent sur ses joues. Par gestes, Arlette m’interroge ; en haussant les épaules et en faisant la grimace, je lui fais comprendre que le traitement n’est pas efficace. Je le prolonge cependant durant de longues minutes. Lorsque je m’arrête, je préfère la prévenir honnêtement :
    
    — Je ne suis pas sûr que tu sois longtemps soulagée.
    — Oh si, c’est merveilleux, répète-t-elle.
    — Tant mieux alors, mais j’aimerais prolonger le traitement par un massage pour détendre tes muscles. Je sens que tu es tendue, nouée même. C’est ça aussi qui te fait mal. Tu es d’accord ?
    — Je te fais confiance…
    — Il va falloir que tu te déshabilles, ça ne te gêne pas ?
    — N… non, avec toi, je suis tranquille.
    — Bon, je me retourne. Quand tu seras prête, allonge-toi sur le ventre et préviens-moi.
    
    J’entends des froissements d’étoffe, puis quelques grincements de meubles. C’est la voix d’Arlette qui m’appelle :
    
    — Tu peux te retourner, elle est prête. Moi, j’vais vous laisser. J’vais aller voir quéqu’z’uns d’mes anciens clients pour qui j’serai certainement plus utile qu’ici. Bye…
    
    Anne-Marie est étendue sur le ventre, le front reposant sur ses avant-bras repliés. Elle porte juste une culotte et son bandage au pied gauche. Je fais couler de l’huile dans mes mains et les frotte pour ...
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