1. Réconfort et vieilles dentelles. X. (1)


    Datte: 09/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Docsevere, Source: Xstory

    ... punisse, parce que j’en aurais envie...
    
    — Et il devrait vous punir... comment ?
    
    — Une bonne fessée c’est ce qu’il faut aux vilaines filles, vous ne croyez pas ? répondit-elle en baissant la tête. De temps en temps, elles ont besoin qu’on les remette dans le droit chemin.
    
    — Hum... c’est aussi ce que je pense aussi, Caroline, répondis-je, surpris quand même par sa sortie.
    
    Sans me laisser décontenancer, je saisis immédiatement la balle au bond :
    
    — Vous croyez que vous avez besoin d’être remise dans le droit chemin, Carolinette.
    
    — Euh... un tout petit peu.
    
    — Vous voudriez que je vous « prenne en main » ?
    
    — Oui... en mains ! Répond-elle avec une teinte d’ironie, carrément écarlate, au bord de l’apoplexie.
    
    — Entendu, Carolinette. Sûr que vous ne regretterez pas ?
    
    — Dépêchez-vous avant que je change d’avis, dit-elle d’une voix de gorge, le trouble manifestement étant en train de l’étouffer.
    
    — Très bien Caroline. Enlevez votre culotte. Pour commencer.
    
    Je m’attendais à ce qu’elle doive enlever un collant, mais à ma surprise je la vis passer ses mains sous sa jupe et baisser promptement une jolie culotte de dentelle blanche, qui s’avéra être un joli shorty. J’étais sûr que je l’aurais trouvée ravissante moulée dans ce joli sous-vêtement, mais j’en avais décidé autrement.
    
    Je pris une chaise, la tirai de sous ma grande table de salle à manger, la plaçai éloignée de celle-ci, presque en plein milieu de la pièce :
    
    — Mettez-vous à califourchon sur ...
    ... cette chaise, Caroline.
    
    Elle allait s’exécuter en s’avançant vers la chaise, mais elle hésita, tourna sa tête vers moi, voyant bien que sa jupe droite l’empêcherait d’écarter les jambes :
    
    — Comment je fais ? me montra-t-elle en tentant d’écarter sa jupe qu’elle était trop étroite.
    
    — Vous remontez votre jupe sur vos reins, bien entendu. Vous n’êtes pas sotte.
    
    Elle obéit, plus rouge que jamais, me dévoilant un fessier encore plus beau que je l’avais imaginé, du moins selon mes critères : des fesses larges, blanches comme neige, qui s’évasaient vers le bas tel un hanap à l’envers, un fessier de reine, dont la dimension contrastant avec la taille modeste de cette fille, et lui donnait, en élargissant ses hanches, une majesté unique !
    
    Avec de pareilles fesses à l’air, sa jupe anthracite troussée sur ses reins, ses bas fumés ornés de volutes décoratives, ses bottes de cuir droites et unies, gainant ses jambes, elle était bandante comme jamais !
    
    — Reculez votre croupe, Caroline, mettez-vous tout au bord de la chaise, et cambrez-vous bien, posez vos avant-bras sur le dossier.
    
    Vous avez un cul magnifique, ma chère, lui dis-je sur un ton plus bas et les yeux baissés vers l’objet ainsi exposé. J’avais vu que vous aviez un beau cul – du moins l’avais-je deviné –, mais là, je suis soufflé : un des plus beaux culs que j’ai jamais vus. Cela dépasse tout ce que j’avais imaginé...
    
    L’effrontée trouva malgré son émotion tangible le courage de répondre, toujours sur un ton ...
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