Une bouée dans la tempête du chagrin
Datte: 04/05/2022,
Catégories:
fh,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
rencontre,
Auteur: Birdies, Source: Revebebe
... mon sexe en otage, l’obligeant, par de savantes caresses, à durcir. Elle se mit sur le côté, collée contre moi.
— Oui pour toi… par-là, minauda-t-elle.
Avec précaution, doucement, je m’appuyais sur le sillon de ses fesses ; sa main me guidait vers cette corolle qui s’ouvrait sous ma poussée. C’est elle qui par son mouvement engloutit mon sexe dans l’étroit chemin détourné d’un autre plaisir. L’étreinte devint forte, animale, déchaînant nos corps dans un tourbillon puissant. Ma main prit possession de son sein un instant abandonné. La sienne s’activait sur son bouton. Elle était en état second… grognant, geignant, donnant un tempo élevé à ma pénétration.
En sueur, heureux, la respiration haletante, main dans la main, nous étions sur une autre planète, loin de tout. Une pause s’imposait. La grande douche italienne nous tendait son confort. Ce fut une séance de massages réciproques, de corps contre corps, de baisers… du pur plaisir. Le soleil baissait lentement prenant le temps de nous faire profiter du balcon donnant sur le parc, apercevant au loin le Ventoux.
— Que veux-tu ? Dîner ou room service ?
— Room service, dit-elle avec son sourire, tendre, et le charme de son regard.
Un toc discret et nous voilà servis par une charmante jeune femme en tenue civile, souriante. Posant le plateau sur une table basse, son regard se porta sur Sophie. La serviette de bain ne couvrait que très partiellement sa poitrine.
— Vous avez une très jolie poitrine, madame… dit ...
... avec un accent très provençal, chantant.
Le rouge vint aux joues de ma compagne ! je me retenais de rire à cette situation inattendue. Notre serveuse tourna les talons et quitta la chambre, sans se presser, le regard toujours tourné vers l’objet d’un désir manifestement refoulé.
— He bien, ton charme fait des ravages !
— Idiot. C’est bien la première fois que je fais de l’effet à une autre fille.
La soirée s’avançait, nos baisers interrompus par une gorgée de vin blanc ou un toast.
Nous avons pris le temps d’une ballade dans le parc de l’Auberge, admirant les grands platanes endormis dans le crépuscule. Un banc près de l’étang nous accueillit. Sa tête sur mon épaule nous étions silencieux, appréciant cet échange silencieux, tendre, loin du contexte de notre première entrevue. Nous n’avions, pas encore, évoqué ce moment.
Le fait de rester ensemble cette nuit s’est imposé à nous naturellement. Lovés sous les draps nous partagions nos rires nos baisers, nos étreintes qui les mettaient à mal. Elle était allongée sur mes jambes remontant lentement, frottant ses seins sur mon sexe. Ce va-et-vient diabolique m’amenait à une tension très forte. Son sourire et son regard malicieux étaient provocateurs. La douceur de cette caresse devenait irrésistible. Je me cambrai, elle stoppa immédiatement et vint m’embrasser avec passion laissant retomber la pression. Elle recula et se releva pour s’empaler lentement sur mon sexe. Mes mains sur ses seins, je tordais ses tétons, ...