Retour en Tunisie (2) - Histoires de Sexe

Retour en Tunisie (2)

... lève tes jambes, lui dit Sana. Tous les matins avant de déjeuner, ce sera le même rituel... toilettes, douches et une fois par semaine, un lavement pour contribuer à ta bonne santé. Madame est intransigeante sur l’hygiène corporelle et de plus, elle fait très attention à l’alimentation comme à la forme physique. C’est pour cela que tu devras faire du sport.

Ophélie enregistre toutes ces informations en se laissant manipuler. Pour elle qui n’a jamais fait vraiment de sport, à part le minimum requis pendant les années scolaires, cela va lui changer.

Perdues dans ses pensées, elle se voit attacher les chevilles aux deux cordes reliées au plafond par un treuil, ses jambes sont levées à l’équerre. Elle rougit et détourne la tête pour éviter de la regarder. La douceur ne fait pas partie du traitement, aussi Sana s’applique avec des gestes mécaniques, elle suspend l’entonnoir en hauteur, prend ensuite la canule reliée au tuyau et pose l’embout sur l’œillet contracté.

— Détends-toi, lui demande sa collègue, cela ne fait pas mal, tiens à deux mains tes fesses écartées et tout se passera bien.

— Hon ! hon !

— Arrête de te plaindre, c’est presque terminé, lance Sana en enfonçant d’un bon centimètre la canule.

Aidée par la glycérine qui l’enduit, Sana pousse le plus loin possible le tuyau qui s’enfonce dans le fondement d’Ophélie, elle ne tient pas compte de ses protestations. Lorsque la canule est bien fichée dans le colon, elle arrête la progression. Ophélie ne pourra ...

... pas l’enlever seule. Elle verse alors dans l’entonnoir environ deux litres de liquide qui remplissent peu à peu les intestins de la Française, son ventre est distendu. Elle retire ensuite la canule et place un gros plug pour obstruer la sortie.

— Aaaaaaaah ne peut se retenir Ophélie.

— Comme c’est la première fois, ce premier soin sera long et inconfortable, tu vas devoir rester là une petite demi-heure. Ne t’inquiète pas si tu as des crampes, c’est tout à fait normal.

Au bout de 10 minutes, Ophélie se tord sous les contractions tout en râlant de plus en plus. Les gargouillis sont insupportables.

— Ne te plains pas trop, espèce de douillette...

Quelques minutes plus tard, Sana détache les jambes et accompagne Ophélie aux toilettes. Avec une honte incommensurable, elle s’accroupit et attend que sa tortionnaire lui enlève le plug. C’est douloureux, car celui-ci est fortement tenu par son sphincter, elle n’arrive pas à se décontracter. Cependant lorsque le bouchon est retiré, elle se vide immédiatement. Le soulagement est instantané, pourtant l’humiliation est toujours présente et d’autant plus qu’elle doit attendre que Sana l’essuie.

Durant la première semaine, les nerfs d’Ophélie sont mis à rude épreuve

Du matin au soir et même la nuit, elle n’est pas libre de quoi que ce soit... Le matin et à chaque fois que le besoin se fait sentir, elle se rend aux commodités suivies par son chaperon qui l’essuie, ensuite c’est le petit-déjeuner où Sana s’occupe d’elle ...