1. Jour tranquille à Oléron


    Datte: 15/04/2022, Catégories: fh, couple, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fgode, pénétratio, Auteur: Volnay-a, Source: Revebebe

    ... Quand, il est bien en place, je passe au plus épais. Il se loge sans problème dans l’orifice à la fois voisin et accueillant qui, sans doute l’impatience, baillait en l’attendant. Après quoi je déclenche les vibrations. Je le dis sans fausse modestie, je manipule ces deux ustensiles avec une grande dextérité. Léa m’en récompense en m’offrant un spectacle dont je ne me lasse pas. Elle entre quasiment en transe, elle se crispe, se détend, se mord les lèvres, se malaxe les seins, les lâche pour s’ouvrir plus complètement bref, elle plane sans discontinuer jusqu’au grand cri de l’apothéose finale. Très doucement je retire mes deux complices de leurs gaines respectives et je les pose sur le sol.
    
    Appuyé sur le coude je la regarde. Elle a fermé les paupières et respire profondément. On pourrait presque croire qu’elle dort. Mais elle tourne doucement la tête, ouvre les yeux et m’attire vers elle. Un baiser et « Oh mon amour ! Qu’est-ce que tu m’as fait jouir ! » Je souris flatté, mais déjà elle continue « Mais toi ! Tu n’as rien eu ! » Je hausse les épaules et lève les sourcils, genre bon petit soldat qui, n’ayant fait que son devoir, n’en attend pas la moindre récompense. Sauf que c’est de la pure comédie. Si elle ne m’offrait pas la suite et fin que je pense être en droit d’espérer, je serais plus qu’un peu désappointé. Ma chérie me rassure très vite. Elle se redresse, m’enjambe et s’empare du pieu qui n’attendait que ça (l’état d’excitation dans lequel je me trouve explique, ...
    ... sans l’excuser, cette exagération). Elle se l’enfonce dans la fente en soupirant que c’est encore meilleur que du plastique même vibrant. Je confirme. Entre son jus et le lubrifiant, ma queue glisse béatement dans son fourreau. C’est chaud, c’est souple, c’est exquis. Elle se trémousse avec un tel entrain que je sens que si je la laisse faire, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Or, j’ai envie de faire durer ce moment de plaisir autant que je le pourrai. Je reprends donc le dessus et j’impose mon rythme en convoquant quelques images mentales (embouteillage du lundi matin, conférence de presse présidentielle, lessivage du plafond de la cuisine) destinées à prolonger de plusieurs minutes le temps qui me reste avant le feu d’artifice final. Vaines tentatives. Comment se contenir quand on ne cesse de vous encourager avec des :
    
    — Encore ! Plus fort ! Dépêche-toi ! Ta salope veut ton foutre ! et autres déclarations à forte charge émotive. C’est trop puissant, trop bon, trop tout ! Je ne résiste plus. Au contraire j’accélère, je grogne, je halète, je gémis, je rugis qu’elle est bonne, que je ne connais rien de meilleur que de me vautrer dans son con, que je vais juter, la remplir, l’enfoutrer comme elle mérite de l’être. Ces déclarations sont interrompues par quelque chose qui n’est ni un râle, ni un sanglot, ni un rire, mais tout ça ensemble. Du coup, moi aussi je pars et tellement fort que la tête me tourne. Silence. Nos souffles s’apaisent. Je reste étendu sur elle jusqu’à ...
«12...678...15»