Jour tranquille à Oléron
Datte: 15/04/2022,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
plage,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fgode,
pénétratio,
Auteur: Volnay-a, Source: Revebebe
... Je le cultive depuis longtemps. Apprendre qu’elle n’a pas de culotte est la bonne nouvelle du jour, mais je me retiens prudemment et je ne laisse pas éclater ma joie. Le hasard et son inattention ont bien fait les choses, n’en rajoutons pas. Rassurant, je lui murmure que ce n’est pas grave : Quand elle aura passé la robe légère, mais opaque, qu’elle a mise pour venir, personne ne pourra rien soupçonner. En cinq minutes au plus, nous aurons retrouvé nos vélos et comme la brise est presque imperceptible, sa pudeur ne risque rien. Elle en convient et quelques instants plus tard, la main dans la main nous quittons le bord de l’eau. La savoir presque nue (elle n’a, hélas, pas oublié son soutien-gorge) sous la mince étoffe qui dissimule des charme que je n’ai aucun mal à imaginer, a, sur mon métabolisme, un effet de plus en plus visible. Je bande si fort dans le boxer qui me sert de short que c’en est indécent. Par bonheur, il est presque midi, la plage est peu fréquentée et nous ne croisons personne. Elle ne se rend compte de mon état que lorsque nous arrivons aux bicyclettes. « C’est moi qui te fait cet effet ? » Elle rougit un peu en posant cette question dont elle connaît la réponse. Elle sait bien que, même si j’aime la nature, la contemplation d’un sous-bois, fût-il orné de fougères, ne suffirait pas à me donner une érection.
Dans des moments pareils, les paroles sont, au pire, navrantes, au mieux, inutiles. Je passe donc aux actes et je l’attire pour l’embrasser. Elle se ...
... colle à moi. Je glisse une main aventureuse sous sa robe. Oh joie ! Elle non plus, la situation ne l’a pas laissée indifférente : elle est trempée. Merde ! Des bruits de voix ! Un groupe d’ados débouche d’une allée, en même temps que le bruit d’un moteur annonce l’arrivée d’une bagnole. J’abandonne temporairement, et à regret, mes projets libidineux et, à défaut d’autre chose, j’enfourche ma bécane direction la maison.
Nous battons sans difficulté notre record de rapidité et nous voilà chez nous. Ni une, ni deux, j’ôte sa robe et je la pousse sur le lit. Elle écarte les cuisses. Mon membre qui avait perdu un peu de sa vigueur pendant l’intermède cycliste, retrouve toute sa superbe. Pour une fois j’oublie la case préliminaire et je m’enfonce d’un coup dans sa chatte dégoulinante. Mon dieu que c’est bon ! Je pilonne comme un malade pendant qu’elle m’encourage à ne pas ménager mes efforts ! C’est du rut à l’état pur ! Je n’ai qu’une peur : ne pas tenir assez longtemps pour qu’elle puisse jouir à fond. Un râle bien connu m’avertit que je m’inquiétais pour rien. Pendant qu’elle grogne, que c’est bon ! Qu’elle aime ma bite et qu’il faut que je me dépêche de juter pour qu’elle puisse repartir, je me laisse aller et je finis par lâcher les giclées de foutre qui nous expédient tous les deux au septième ciel.
La descente se fait progressivement. Je suis couché sur le dos. Elle est collée à moi. Contre ma cuisse, je sens la chaleur humide de sa chatte. Oui ! J’ai bien dit foutre, ...