1. Jour tranquille à Oléron


    Datte: 15/04/2022, Catégories: fh, couple, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fgode, pénétratio, Auteur: Volnay-a, Source: Revebebe

    ... ! » plus gémi qu’articulé, vienne m’annoncer qu’une fois de plus, je ne me suis pas trop mal débrouillé.
    
    Un autre jour, je me glisserais immédiatement en elle, mais en cet instant, je pense nécessaire de nous offrir un intermède. D’abord un petit moment de tendresse pendant qu’elle redescend sur terre. Je la caresse doucement en évitant les zones sensibles. Je lui glisse des mots doux à l’oreille. Je lui dis que je l’aime et que je ne peux pas me passer d’elle. Je l’entends me répondre qu’elle est à moi, à moi tout seul. Nous échangeons des baisers d’abord légers puis de plus en plus prononcés. Je sens le désir la reprendre (moi, il ne m’a pas quitté) alors je lui suggère de passer par la case gode. Ses yeux brillent, mais, hypocrite et peut-être compatissante (elle doit penser que mon dard, toujours aussi raide, est impatient de pouvoir se loger à sa place préférée), elle interroge « Tu crois ? ». Je réponds que j’en suis certain, alors tout en s’allongeant le plus commodément possible, elle me souffle « Puisque tu le veux ! » manière habile de me faire porter la responsabilité des éventuels débordements physiques et oraux qui vont suivre.
    
    Nos instruments du plaisir sont soigneusement rangés dans une petite mallette placée contre notre lit. En cas de besoin, cela nous évite les déplacements inutiles. Je l’ouvre. J’en extrais un tube de lubrifiant dont j’enduis abondamment les endroits que je m’apprête à solliciter. Des petits gémissements me disent que Léa apprécie ...
    ... ces préalables. Je n’en doutais pas et, comme abondance de biens ne nuit pas, j’en remets, aux sens propre et figuré, une seconde couche. Puis je prends les deux objets que j’ai sélectionnés. L’un imite avec beaucoup de réalisme un sexe masculin fin et allongé, l’autre est plus sobre de ligne. C’est un cylindre d’un diamètre consistant mais non démesuré. Son extrémité est ogivale, sa matière lisse et chaude. Des piles, que nous n’oublions jamais de renouveler, permettent de faire vibrer ces deux engins à des vitesses variables. J’ai une pensée pour celui qui, le premier eut l’idée de ces merveilles techniques. Cet inventeur a fait plus pour le bonheur de l’Humanité que certains des zozos sanguinaires dont les statues ornent nos places et je me dis que lancer une souscription pour ériger un monument au bon docteur Joseph Mortimer Granville, créateur du vibromasseur, serait une heureuse idée quand un gémissement plus fort que les autres me rappelle à la réalité. Celle-ci est des plus plaisantes. Léa écarte de nouveau les cuisses, de façon un peu moins démonstrative que tout à l’heure, mais entre sa mouille et le lubrifiant l’effet est irrésistible.
    
    Je me saisis de mes deux auxiliaires, je les lui montre en lui demandant si ma petite salope préférée est prête à se faire mettre par les deux trous. Léa, me confirme qu’elle est bien ma salope et que je peux faire d’elle ce que je veux. Je n’ai pas attendu son accord pour commencer à enfiler dans sa rosette le gode le plus fin. ...
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