1. Jour tranquille à Oléron


    Datte: 15/04/2022, Catégories: fh, couple, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fgode, pénétratio, Auteur: Volnay-a, Source: Revebebe

    ... d’arrêt. Je la rassure « Y a pas de stylo, ni de capuchon, je lui dis, mais un bon gros bâton qui ne demande qu’à être pris en main ! » Elle soupire soulagée :
    
    — Si c’est un bâton ! Je vais pouvoir m’appuyer dessus !
    — Aucun problème, je réponds non sans forfanterie, il est du genre solide !
    
    Même si cette brève conversation n’est pas étincelante, elle nous permet d’arriver à notre lit. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? J’ôte la robe rouge et blanche. Mes yeux constatent avec satisfaction que mes doigts ne se sont pas trompés. « Alors ce bâton ? » me demande-t-elle avec une certaine impatience. « Il arrive ! » m’exclamé-je, en faisant tomber le bermuda et le slip qui va avec. Puis je retire le tee-shirt et me voilà, moi aussi à l’état de nature. Je n’ai pas ôté mes chaussettes parce que l’été je n’en porte pas. Sinon elles auraient volé avec le reste. Je considère qu’il est pire que malpoli, blasphématoire, de les garder quand on s’apprête à faire l’amour. Gourmande, Léa saisit un objet dont elle apprécie à haute voix la dureté.
    
    — Pas si vite ! déclaré-je, ce bâton est télescopique. Il me faut donc vérifier qu’il va être utilisé dans un milieu adapté.
    — Vérifie chéri ! Mais fais vite ! » me répond ma chère et tendre qui est assise sur le lit.
    
    Je suis debout devant-elle. Quelques secondes et un baiser mouillé suffisent pour que nous soyons tous les deux au même niveau. Elle étendue, moi à ses côtés, variant les positions dans le but unique de ...
    ... mignoter ses seins, d’en soupeser les rondeurs, d’en mordiller légèrement les tétons, de caresser ses fesses, d’en explorer la raie, d’en chatouiller l’étoile brunie et, ce que je préfère, de jouer avec sa chatte (sa figue, sa moule, sa craquette, son minou, son con… ) d’en écarter les lèvres, d’y plonger mes doigts, d’y promener ma langue, d’en dégager le clitoris (le bouton d’amour, le petit berlingot, la cerise sur le gâteau…) et de le titiller en douceur ou frénétiquement après l’avoir, ou non, enduit de lubrifiant.
    
    Après quelques minutes exploratoires, Léa me fait comprendre qu’aujourd’hui, elle apprécierait que je me livre à un exercice dont elle goûte les effets autant que j’en apprécie la réalisation. Elle use pour cela du moyen simple et efficace qui consiste, tout en appuyant son buste sur des oreillers commodément disposés (ce qui a pour effet de mettre en valeur ses seins dont les tétons pointent de plus en plus fièrement) à écarter au maximum ses cuisses tout en tirant légèrement sur ses grandes lèvres. Cette position, est sans équivoque et si elle me demande d’enfin « lui bouffer la foune ». Ce n’est pas parce qu’elle craignait que l’idée ne m’en soit pas encore venue, mais pour ajouter à notre excitation le sel vigoureux des mots proscrits par les manuels de savoir-vivre. Je ne me le fais pas répéter. Rien ne me plaît comme ces moments où, sous la double action de ma langue et de mes doigts elle s’ouvre et dégouline de tout son jus jusqu’à ce qu’un « Ça y est ...
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