Belle-sœur de l'Empereur - 2
Datte: 14/04/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
yeuxbandés,
historique,
couple,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... risques. Mais le fait de se sentir observée tout en étant aveugle décuple le désir d’être prise !
Deux mains m’intiment d’écarter mieux encore mes jambes, afin que le second homme puisse venir se placer entre mes cuisses et me pénétrer de la sorte. Bien sûr, j’obéis, m’offrant à cette prochaine verge qui viendra accompagner celle qui farfouille déjà mon fondement !
Quand cette nouvelle verge est plantée en moi, un grand frisson m’envahit ! Je songe à ce nouveau grand pas que je viens de faire, au fait que je suis devenue une putain, comme le diraient certains, et ce n’est pas faux, car une femme qui s’offre à deux hommes en même temps n’est point une sainte.
— Oh, que c’est bon ! Oh oui, que c’est bon !
Finalement, être une putain, c’est bien ! J’adore me faire entreprendre par deux hommes qui me veulent, qui me désirent, qui me comblent et qui exploseront bientôt en moi. Je me demande alors pourquoi n’ai-je pas découvert ce nouveau double plaisir plus tôt !
En attendant, je me laisse aller, je me laisse faire, je découvre et j’apprécie !
— Oh oui, encore, encore ! Hmmm ! Ouiii ! Aaah !
Je goûte à présent le plaisir incomparable d’être prise par deux hommes, et c’est franchement extatique ! Le paradis sur terre, on peut finalement facilement se le créer, il suffit finalement de peu de choses. Sous l’action simultanée de mes deux amants, je décolle irrémédiablement vers d’autres cieux, subissant avec délice une jouissance incomparable, un feu d’artifice ...
... de sensations extraordinaires, quelque chose d’incroyable et pourtant de si vrai !
J’ai hâte de recommencer, une fois mon corps apaisé !
Dans le vaste parc, au détour d’une allée, je croise incidemment Lugdiwina, la très terne épouse de notre Empereur. J’ai toujours beaucoup de mal à la considérer comme mon Impératrice, d’ailleurs, je ne suis pas la seule. Je songe fugacement que Karl aurait pu être à l’image de son grand frère. Je plains silencieusement cette pauvre créature effacée, me disant que j’aurais pu devenir comme elle, comme quoi que nos vies ne tiennent parfois qu’à peu de choses…
Je la salue comme il se doit, elle me répond gentiment, mais je sens bien que mon interlocutrice n’est pas au mieux de sa forme. Faisant fi du protocole puisque je sais que je peux me permettre de le faire, car personne n’est autour de nous, je m’approche plus près d’elle pour lui demander sans détour :
— Quelque chose ne va pas ?
Ah zut, j’ai encore oublié d’énoncer son titre ! En retour, elle m’adresse un pauvre sourire :
— Oh, ne vous en faites pas, Wilhelmine, c’est la routine…
— Dois-je comprendre que ce n’est pas toujours amusant de vivre auprès de notre Empereur ?
— Comme souvent, vous n’avez pas votre langue dans votre poche. Vous êtes bien l’une des rares femmes à tenir tête à mon mari.
Elle vient de me répondre sans méchanceté. Je réponds calmement, mais fermement :
— Je n’aime pas trop qu’on veuille me priver de mes enfants.
— Moi non plus, je vous ...