1. Belle-sœur de l'Empereur - 2


    Datte: 14/04/2022, Catégories: fh, fhh, fhhh, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, yeuxbandés, historique, couple, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... tiens de mon époux. Lugdiwina demande confirmation :
    
    — Vous dites que ce Général ne se couchait jamais dans son lit sans deux… euh, filles, une à droite et une à gauche ?
    — Exactement, ça lui tenait chaud, surtout quand le vin gelait dans les cruches.
    — Toujours les mêmes personnes ?
    
    Je fais un petit geste de la main :
    
    — Non, il y avait une certaine rotation. Néanmoins, il a fini ses jours avec l’une d’elles qui l’accompagnait depuis quelques années dans ses missions. Je crois qu’il l’a même épousée morganatiquement.
    — Il a… il a épousé une de ces créatures !
    
    Je souris de l’expression à demi-horrifiée de la voisine :
    
    — Il l’a épousée en connaissance de cause. C’était un soldat, amateur de filles à soldat. Voyez-vous, Lugdiwina, pour certains hommes, il vaut mieux une fille joyeusement délurée dans son lit que la plus noble des dames ascétiques.
    — Mais il aurait pu faire un beau mariage !
    — Il avait fait un beau mariage, avec une Comtesse de la meilleure lignée. Hélas, elle est décédée de tuberculose, vingt ans auparavant après lui avoir donné six enfants. Il s’est jeté ensuite dans les guerres, j’ai cru comprendre qu’il avait beaucoup aimé sa femme.
    — Une triste histoire et une histoire triste…
    — Comme beaucoup d’autres sur cette basse terre.
    
    Lugdiwina devient songeuse :
    
    — Oui, hélas… j’en sais un peu quelque chose. Je vous remercie de votre amitié…
    — Entre femmes, il faut bien s’entraider, non ?
    — Il y a une semaine de ça, j’ai bien vu comment ...
    ... vous avez remis en place le Grand Chambellan qui voulait nous empêcher d’aller dans les jardins ! Vous avez un certain caractère !
    
    À ce souvenir désagréable, je m’agite :
    
    — L’étiquette, l’étiquette, ce vieux débris n’a que ce mot-là à la bouche. Il faut dire que sans cette satanée étiquette, il n’a plus aucune raison d’être, mais il convient d’être souple, que diable !
    — Oh !
    — Ne faites pas attention à certains de mes mots. Mais si vous rougissez à chaque mot de la sorte, je ne donne pas cher de votre vie si un jour, vous mettez les pieds dans une taverne ! Vous serez tellement cramoisie que vous serez réduite en cendres en un rien de temps !
    — Vous… vous exagérez, Wilhelmine !
    
    Tous en regardant les enfants s’ébattent, nous continuons à deviser de tout et de rien. Soudain, ma voisine me demande :
    
    — Wilhelmine, peut-être allez-vous réussir à éclairer ma lanterne sur les Kalemburgs… Il y a quelque chose qui cloche dans ce couple alors qu’ils s’entendent pourtant si bien… Sauriez-vous quelque chose à ce sujet ?
    — Les Kalemburgs s’entendent fort bien, car ils ont les mêmes goûts en presque tout, y compris en ce qui concerne leurs partenaires… séparément.
    — Je… je ne comprends pas…
    — C’est très simple : Monsieur aime les hommes et Madame aime les femmes.
    
    Lugdiwina en reste bouche bée. La regardant avec amusement, je continue :
    
    — Vous l’ignoriez ?
    — Euh… oui…
    — Pourtant, c’est de notoriété publique.
    — Pourtant, ils ont eu des enfants !
    
    Je hausse un ...
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