Divine compagnie (2)
Datte: 14/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... je ne sais pas si elle te l’a raconté. L’autre soir, avec ce mec, j’avais peur qu’il ne cherche à nous violer.
— Ben si cela était arrivé dans le parc, il n’aurait pas aimé que je lui explique que ça ne se fait pas devant moi. Et crois-moi, il aurait eu beaucoup de peine à s’en remettre.
— Je sais oui. Parce quand il t’a vu, il s’est calmé très vite. Merci d’avoir été là, Alain. Sache quand même qu’en te voyant, comme Alexia, j’ai eu une furieuse envie que tu me fesses pour ma bêtise.
— T’as aimé que je te fesse ?
— Oh oui, ça m’a fait jouir bien plus fort.
— Alors je suis heureux de t’avoir fessé. Oh ! les filles, il est presque trois heures du matin. Si on allait se coucher ?
— Euh…
— Caroline, viens, y a assez de place pour nous trois, lui ordonne presque Alexia en lui saisissant sa main.
Dans mon lit, Caroline se voit imposer de se coucher entre moi et Alexia. Tourné contre elle, je cherche sa bouche que j’embrasse en massant ses seins. Je la vois s’endormir paisiblement, avec son petit ...
... sourire coquin. En me soulevant légèrement, je vois Alexia qui dormait déjà.
Au matin, en m’étirant, je découvre, un peu ému, Caroline enroulée à Alexia qui me regardait. Nous nous sommes souri et je me suis levé sans bruit, très lentement. J’ai fait le tour du lit sur la pointe des pieds et me suis penché à l’oreille de mon amour de femme.
— Je te laisse ma chérie. Je bois un café et je file faire des courses pour le week-end.
— Tu sais la dernière ?
— Euh non !
— Je t’aime mon amour.
Un doux baiser et je file me fringuer. Dehors, je regarde le ciel, respire un grand coup et me dirige vers mon épicier favori. Puis je me pilote vers mon boulanger-pâtissier avant de boire un café sur sa terrasse et me rentrer d’un pas tranquille. En montant, à pied pour une fois, il me semble bien entendre jouir deux exquises femmes. Devant ma porte, ma main sur la poignée, celle-ci s’ouvre sur une Caroline en joie, dans une de mes chemises. Elle me débarrasse de mes sacs, les dépose et se jette sur moi, comme folle.