1. Divine compagnie (2)


    Datte: 14/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: charimarien, Source: Xstory

    Les semaines passent, les jours s’égrènent. Par contre, il ne se passait pas un jour sans qu’Alexia ne vienne me rejoindre chez moi, amenant à chaque fois un peu de ses affaires.
    
    Ce vendredi soir, je lui ai préparé son petit corset à balconnet, une paire de bas de soie autofixants, une paire de talons aiguilles, des escarpins. Je lui dépose aussi son serre-cou que je pose près du corset. Il y a aussi la laisse qu’elle devra accrocher à son anneau clitoridien. Pendant que je me douche et me rase, je la sais en chemin, sortant de chez son esthéticienne après une totale épilation de son corps. En arrivant, elle allait devoir se maquiller, faire son chignon avant de se vêtir sous ma surveillance. Pour moi, j’avais sorti mon smoking et un loup noir, vieux souvenir d’une soirée très chaude. J’avais l’impression de me transformer en Sir Grey, celui des « 50 nuances » quand je me regardais dans le miroir.
    
    Et elle arrive. À peine la porte franchie et refermée, elle retire son manteau, pour me rejoindre nue et à quatre pattes, bandante à souhait. D’un geste désinvolte, je lui montre sa tenue vestimentaire pour cette nuit. Après m’avoir arrangé mon nœud de cravate, elle file se doucher. Elle revient, son chignon fait. Devant moi assis confortablement, elle enfile ses bas avec une sensualité poussée à son paroxysme, tout ce que j’aime. Puis elle met son corset que je viens serrer sans que cela ne soit trop. Enfin, elle enfile ses escarpins avec toujours cette sensualité que ...
    ... j’apprécie. En tout dernier, elle écarte ses jambes afin que je puisse fixer sa laisse à son anneau très intime. Je me relève, l’embrasse tendrement. Derrière la porte, elle enfile son manteau qu’elle ne referme que par sa ceinture.
    
    Prête, je l’inspecte une dernière fois sans vergogne et nous quittons ce qui était devenu notre appartement. Dehors, le temps était encore clément. Nous nous dirigeons chez son amie de cœur.
    
    Un peu plus tard, nous y sommes. Elle défait la ceinture de son manteau qu’elle retire et me tend. Sur le sol, je prélève quelques gravillons qui traînaient là et les lance contre la vitre du salon de cette demoiselle. Dès qu’une ombre s’approche, Alexia joue son rôle de docile soumise. Vu l’heure et le jour, il n’y avait déjà plus personne dans la rue. Alors, à genoux, elle ouvre mon pantalon, en sort délicatement mon sexe qu’elle embouche immédiatement. Du revers de ma veste, je sors mon petit martinet. Derrière sa fenêtre, il en est une qui ne manque rien du spectacle. Je peux la voir se dessiner contre la vitre. Même, je peux aisément voir qu’elle se branle et pas en douceur.
    
    Alexia continue sa fellation, un pur bonheur vu le lieu. Caroline semble sur le point de jouir quand je la fixe carrément, sévèrement même. Je pense même qu’elle me reconnaît malgré mon loup. Et puis, prenant le chignon d’Alexia, je la force à se relever, à se coller contre l’immeuble. Caroline reconnaît son amie, et à moitié nue, elle sort sur son petit balcon. Elle nous fixe sans ...
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