1. Divine compagnie (2)


    Datte: 14/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... lécher et masser la poitrine de son amour. Peu après, Caroline me fixe, avec un petit sourire niais. Je la devine sur le point de jouir. Peut-être un poil pervers, je change de partenaire pour reprendre Alexia et la faire jouir.
    
    Devant son amie, Caroline se caressait son minou et moi, je me mets à dilater son superbe cul. Elle ne refuse pas, écartant ses fesses d’une main. Je la possède encore, toujours avec deux ou trois doigts dans son cul. Elle jouit en se lâchant totalement et je m’empresse de la sodomiser tout en douceur. Alexia se glisse sous elle, sa bouche sur la chatte, qu’elle lèche, quand ce ne sont pas mes testicules. Caroline jouit encore et je lui remplis son cul avec ce qui me restait dans mes couilles. Je tombe alors sur mon fauteuil, fatigué, en fixant la croupe indécente de Caroline.
    
    Je suis alors persuadé que, cette fois, ces deux superbes femmes se sont rabibochées et pour de bon. Je me branle lentement en les regardant s’aimer de manière aussi vorace que lascive. Elles jouissent encore et ensemble, d’une seule voix, et moi je jouis de les voir prendre plaisir.
    
    Caroline, cherchant certainement à se faire pardonner, colle son visage sur l’anus de sa chérie. Je vois sa langue aller et venir dans ce cul. Je m’approche pour appuyer sur cette tête.
    
    — Tu l’aimes tant que ça ?
    
    — Bien plus encore. Je m’en veux de m’être énervée contre moi en lui faisant croire que c’était de sa faute. Je me suis rongé les sangs de cette bourde.
    
    — Tu ne crois pas ...
    ... que cela mérite au moins une bonne petite fessée ?
    
    — Oui, une méchante fessée même ! me dit-elle en me fixant brièvement.
    
    Je ceinture sa taille de mon bras sans qu’elle ne s’arrête de lécher tout l’entrecuisse d’Alexia. Je me mets à la fesser, très méchamment, alternant claques et douces caresses. Parfois elle me fixait, comprenant que je ne voulais uniquement que son bonheur, le même que pour Alexia. Elle me fait un bref oui de la tête et je la fesse encore de plus belle, sans ne jamais être un tortionnaire sadique. Alexia parvient à se retourner vers moi. Sa bouche toujours gourmande se met à aller et venir sur ma queue encore un peu molle. Elle fait de sacrés efforts pour me la rendre dure et tendue. Elle me guide vers la chatte de son amour, que je me mets à pilonner, sauvagement cette fois. Caroline, sa bouche collée à celle d’Alexia, ne parvient plus à glousser. Je la pilonne sans faiblir, sans chercher le plaisir de Caroline. Oui, cette fois, je ne voulais que mon plaisir, devant ces deux perles.
    
    Je ne jouis que quelques gouttes de sperme sur le dos de Caroline, avant de retomber sur mon fauteuil, crevé. Caroline s’achève de ses mains et, me fixant, jouit en un long soupir de bonheur. Alexia lui dit :
    
    — Tu vois ma chérie, tu as pris ton pied avec un mec.
    
    — OK, il est différent des autres. Mais ça reste un homme.
    
    — Et alors, s’il te disait qu’il t’aime, fuirais-tu encore et toujours ?
    
    — Je ne crois pas, non.
    
    Puis s’adressant à moi :
    
    — Écoute, ...