1. Divine compagnie (2)


    Datte: 14/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... un mot, éberluée par ce qu’elle découvre. Je l’interpelle :
    
    — Tu l’aimes ton amie ?
    
    — Je… je ne sais pas, je ne sais plus.
    
    — Ce n’est pas une réponse. Donne-moi une réponse claire !
    
    Je fustige ce corps qui me proposait son dos et son cul. Je ne flagelle pas très fort, tout juste si cela rougissait le corps d’Alexia. Mais Alexia est bonne actrice quand elle pousse des cris de douleur. Elle dose même le volume de sa voix, jubilatoire. Je fixe Caroline une fois de plus, en arrêtant de fouetter mon aimée. Je lui repose la question, mais si sa tête faisait oui plusieurs fois, c’est par sa bouche que je voulais l’entendre. Je l’avertis même que si elle ne me répondait pas clairement, j’allais fouetter son amie jusqu’à la faire hurler et réveiller tout le quartier. Devant son mutisme, je fixe brièvement Alexia qui me fais oui de la tête. Et j’en remets une couche, un peu plus fort même. Je ne cesse de fixer Caroline, entre les coups que j’espace volontairement.
    
    Caroline disparaît subitement après le petit cri de son amie. À l’instant suivant, elle débarque dans la rue, comme folle. Elle s’interpose entre moi et Alexia, me faisant face et nue sous sa nuisette trop courte. Je lui assène un petit coup de martinet sur son ventre. Elle s’agenouille en protégeant son amie de cœur, m’implorant de cesser tout supplice. « Alors regarde, caresse sa chatte, elle mouille ton amie. Cela coule entre ses cuisses. Oui, tu l’as compris, elle aime ça. Relève-toi, Caroline et ...
    ... approche ! »
    
    Elle se relève, vient à moi. Je lui prends ses longs cheveux et force sa bouche. Elle ne résiste guère longtemps, avant de m’enlacer et de répondre à mon baiser furieux. Puis, je la pousse vers l’entrée de son immeuble. Nous nous retrouvons rapidement dans l’appartement de Caroline. Je les fais asseoir l’une contre l’autre sur le petit canapé. Je n’ai guère besoin de les pousser l’une contre l’autre qu’elles s’embrassent déjà amoureusement.
    
    Je file dans la chambre de ce deux pièces et la fouille sans pour autant foutre le bordel. Je découvre ce que je pensais déjà y trouver. Caroline possédait aussi sa valise à malices. Des godes, une petite cravache, des pinces et quelques cordes. Je reviens avec ces trésors, m’assois sur la table basse, et lui dit :
    
    — Caroline, Alexia est folle de toi comme elle est folle de moi et que je suis folle d’elle. Si tu ne te souviens pas de moi, j’étais l’homme sur le banc, le soir de votre promenade avec cet homme. (Je retire mon loup) Je n’ai qu’une question à te poser, l’aimes-tu autant que je l’aime ?
    
    — Oui, Monsieur, j’en suis folle. Et si je me suis fâchée, ce n’est pas du tout de sa faute, mais entièrement de la mienne. Je n’ai été qu’une sotte égoïste quand j’ai refusé de refaire cette balade.
    
    — C’est bien mon avis. Tu étais si fière quand je vous ai vues toutes les deux.
    
    Seule Alexia m’a souri et adressé le plus coquin des clins d’œil et Caroline de répondre:
    
    — Moi je n’ai pas osé vous regarder. Il y avait une ...
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