1. Apprentie libertine


    Datte: 12/04/2022, Catégories: fh, ff, grp, boitenuit, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fdanus, Partouze / Groupe fouetfesse, init, totalsexe, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... sourire aux lèvres. Je lui présente Edwige.
    
    — Vous êtes ravissante. Quel beau couple vous faites !
    
    Flattées, nous ne démontons pas. Je vais vers un poster :
    
    — Je choisis celle-ci. Pour son élégance.
    
    Un collier pendentif avec ses prolongements accrochés aux seins et la troisième chaîne qui descend au pubis pour se perdre dans la fente jusque derrière.
    
    Ed secoue la tête :
    
    — T’es salope, j’veux la même.
    — Qui se finit dans le trou de balle ? lui demandé-je.
    — Ah non ! Même pas en rêve !
    — Madame a des préjugés !
    — Allons, mesdemoiselles, on finira où il vous plaira, sourit Diane.
    
    Comme nous n’avons pas le même physique, la même poitrine. Les longueurs de chaînes sont différentes. Ed a le sein lourd, moi, aérien, des seins de danseuse du « Moulin rouge », paraît-il.
    
    Les chaînettes sont accrochées aux tétons par des nœuds coulants. La troisième va s’accrocher au plug vaginal et repart au plug anal pour rejoindre enfin l’anneau dorsal de la chaîne ceinture.
    
    — T’es jalouse ? provoqué-je Edwige.
    — T’es plus salope que moi !
    
    Diane s’active, me montre comme détacher le plug anal en cas d’inconfort.
    
    Me voilà devant la psyché à me mirer :
    
    — C’est trop top… !
    — Comment tu baises maintenant ? T’es bouchée de partout.
    — M’en fiche ! Diane, je peux garder ? Vous avez fait un super boulot.
    — Merci, Caroline. À vous, Edwige. On s’arrête où ?
    
    Ed hausse les épaules :
    
    — À la chatte.
    — Diane, vous me ferez la note pour les deux parures, ...
    ... dis-je.
    
    Devant le miroir à tirer sur les chaînettes, Ed me sourit moqueuse :
    
    — Je ne dirais plus jamais que tu es une salope, ma chérie.
    
    Elle allait se parjurer ô combien de fois.
    
    Robe remise, le décolleté est joliment paré, un peu plus évasé, il laissera deviner où vont les chaînes. Trop glamour…
    
    En regagnant la voiture, nous croisons mon patron. Je fais les présentations.
    
    — Bonjour, Monsieur. Mon patron, Edwige, ma chérie. Nous venons de faire quelques achats à la boutique.
    — Y avez-vous trouvé votre bonheur ?
    — Oui. Ça m’a donné des idées. Puis-je vous en parler ?
    — Venez dans mon bureau, au frais.
    
    Au frais peut-être, mais me voilà euphorique une fois de plus dans la pièce, alors qu’Edwige reste normale. Ni une ni deux, je pose ma robe et prends la pose devant lui :
    
    — Vous pensez quoi en me voyant ?
    
    Edwige n’en revient pas, vu son regard désapprobateur. Je ne me justifie pas.
    
    — Monsieur, dites quèque chose.
    
    Il reste distant, l’œil brillant quand même :
    
    — Votre idée ?
    — Comme je suis super érotique à vous croire, pourquoi ne pas organiser une présentation d’articles de votre boutique le vendredi ou samedi soir ? Et hop, les ventes s’envolent. La majorité des filles ne savent même pas que cela existe.
    
    Le bureau est assez grand pour faire comme au défilé de mode, en moins maniéré et souriante. Provocante recto verso, Edwige en lève les yeux au ciel. Je renfile ma robe et dis au patron silencieux :
    
    — À vendredi, Monsieur.
    
    Dans la voiture, ...
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