Apprentie libertine - Histoires de Sexe

Apprentie libertine

Résumé des épisodes précédents : «Le cousin Coco », «Pucelle libertine - 1 », et «Pucelle libertine - 2 »

Entre filles :

Le jeudi 10 heures, je retrouve Jessica dans sa salle privée de fitness, de gym, de cours de danse, bref tout ce qui fait remuer le popotin. Un petit baiser sympa…

— Caro, tu as une élégance naturelle pour la danse de charme, si tu veux, on développe. C’est un peu de boulot, mais une fois que tu as les automatismes, c’est gagné.
— Pas de souci.
— Nous allons intégrer ton idée de strip-tease dans notre numéro, mais le samedi soir uniquement. Tu vas essayer deux robes appropriées pour le strip. Le truc pour la poser vite fait est tout bête, fallait y penser. Je choisis celle qui fait le plus virginal.
— Maintenant, échauffements, du step en musique et étirements pour finir.

Monter, descendre l’escabeau est robotisant. Midi, j’ai faim. Nous continuons. La faim est passée. Je ne calerai pas, je préfère tomber que me plaindre. Après les étirements, Jess est sans pitié :

— Nous allons répéter notre numéro, habille-toi en conséquence. Jean, mon mari, sera spectateur. Ne t’inquiète pas, c’est un mateur sérieux, rit-elle.
— Y font quoi les pas sérieux ?

Je strip-tease sur la musique devant le Jean mateur qui mate sérieusement. Quand je suis en culotte, Jess me rejoint pour la faire valser et nous retrouver en cunni comme au club. C’est elle qui me fait.

Mais là, nous ne sommes pas au club, une folie rageuse de la tension sexuelle à ...

... évacuer nous fait mettre en 69, c’est de la rage qui se finit en un violent orgasme.

Jean nous envoie des baisers par les mains :

— Bravo, les filles, vous avez été somptueuses. Pourquoi vous faites pas au club ?
— Parce que nous sommes sérieuses, répond sa femme.

Si le final a été plus qu’agréable, Jessica m’a mené la vie dure. Je me demande si je ne viens pas de passer un test.

Le vendredi soir, au club, nous testons mon strip-tease avec le cunni pour finalité. Ça plaît. À refaire.

Le patron m’ayant conseillé de rendre visite à Diane, tenant la boutique de frivolités du complexe, le samedi après-midi, j’en pousse la porte. Un autre univers m’accueille. Une féerie. D’abord, les tenues affriolantes, suivent les vibros et autres joujoux. Mince, que de choix ! Et le monde du cuir en harmonie avec celui des bijoux intimes, mon dieu, j’en suis bouleversée. Pourquoi n’ai-je pas poussé la porte plus tôt ?

— Bonjour, Caroline.
— Bonjour, Diane(c’est écrit sur son badge). Vous me connaissez ?
— Vous êtes la coqueluche de nos fantasmes. Des garçons aussi, à leur façon.

Je ne m’attendais pas à celle-là.

— Merci pour le compliment.

Le compliment fait toujours plaisir, met mal à l’aise aussi. Il impose l’obligation de résultat. La critique nous met face à nos travers. Les deux sont profitables.

— Les nanas vous adorent, vous êtes à la fois innocente et provocatrice. Caroline, La Linéa doit oser plus, aller plus encore vers le public, vous jugerez.
— Diane, ...