Apprentie libertine
Datte: 12/04/2022,
Catégories:
fh,
ff,
grp,
boitenuit,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
Partouze / Groupe
fouetfesse,
init,
totalsexe,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... Ed :
— T’es gonflée ! Tu me vois faire ça à mon patron !
— T’oublies le contexte. Je crois qu’il a un faible pour moi. À chaque fois que je rentre dans le bureau, l’ambiance est bizarre.
— Y va te mettre dans son pieu ! Ou mieux, te sauter sur le bureau.
— J’ai parlé avec les filles, jamais il n’a eu un geste déplacé. Edwige, fantasmerais-tu de te faire sauter sur le bureau par ton patron ?
— Me faire sauter au boulot, même pas en rêve ! Il a une maîtresse cachée, un mec ?
— Pas que je sache.
J’aurai l’explication incroyable dans quelque temps.
À la coloc, Ed me demande ce que ça me fait de me promener avec les plugs.
— C’est agréable, un peu moins l’anal.
Je le pose.
Le vaginal allait devenir mon chouchou.
— Caro, t’as oublié quelque chose chez Diane.
— Quoi ?
— Des boules de geisha !
— Mince, faut que je fasse une liste de commissions.
— Si jeune, faire des listes, mon Dieu…
Nous partons dans la rigolade qui vire aux bisous qui s’achèvent en corps à corps.
Le week-end est là.
J’ai rangé sagement ma parure. Pour apprécier, il ne faut pas mettre tous les jours.
À la réunion de travail avec le patron, il ne parle pas de mon idée, donc c’est foutu.
À la sortie, je croise les coiffeurs, Pile et Poile qui n’ont pas de fantasme me concernant. « Ça mijote », disent-ils.
Ce dimanche soir, apercevant Diane, je lui dédie le cunni que je fais à Jessica, mon zèle ne déplaît pas à Jess et semble troubler Diane qui me rejoint un peu plus ...
... tard :
— Caroline, vous êtes troublante. Je vous invite à passer la journée de demain avec moi.
Elle me sourit à damner une sainte, je vais me damner avec plaisir.
Diane a Jessica :
— J’enlève Caroline, tu ne la chercheras pas. On a des trucs à voir.
— Bin voyons ! À deux heures du mat !
La voiture roule dans la nuit claire d’été. Diane me dit :
— J’habite dans la maison de ma grand-mère. C’est complètement rétro, mais elle a une âme.
Dans le salon, elle a raison pour l’âme. C’est comme si on franchissait un miroir magique pour entrer dans une autre époque.
— Diane, tu sais quoi, nos minijupes et nos baskets font désordre dans cette ambiance.
— Mon Dieu, tu ressens aussi. Tu as raison.
Elle pose les baskets, vire la mini, du coup, j’en fais autant. Elle se rapproche de moi :
— Heureusement qu’on n’a pas les soutifs de l’époque. Ni les corsets, le BDSM est zéro à côté !
— Je n’ai jamais mis de guêpière, j’ai juste essayé en douce un porte-jarretelles de maman, mais je préfère la nudité sous la robe.
— Je te ferais essayer des serre-tailles super confortables. J’ai un aveu à te faire.
— C’est grave ? Tu me fais peur…
— J’avais une envie folle de t’inviter pour parler de ceci-cela en tête-à-tête, et puis le patron m’a demandé de voir avec toi comment présenter des sex-toys pendant le spectacle alors je me suis dit que d’une pierre deux coups. Tu m’en veux ?
Ainsi, le patron donne suite à mon idée.
— Tu m’as attirée ici pour bosser, c’est ...